lundi 21 décembre 2009

Nos drogues nous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, j'aimerai vous parler de drogues, mais au sens large. Ces choses pour lesquels on vit sans s'en rendre compte ou qui nous maintienne en vie, qui nous motive, nous booste, dans lesquels on se réfugie quand ça ne va pas. Ces choses sans lesquels nous aurions tellement de peine à avancer sans elles.

Elles sont de toutes natures : drogues durs ou non, tabac, travail, café, chocolat, médicaments, dieux, sexe, haine, amour, adrénaline, rêve et j'en passe.

C'est un soir, il n'y a pas longtemps, que quelqu'un m'a posé la question et je lui ai dis : le sexe. Le sexe est ma drogue. Comme un cocaïnomane, j'ai besoin de ma dose quotidienne, seul ou accompagné, peu importe.

Mais, plus j'y réfléchissais, plus quelque chose me dérangeait. Il m'aura fallu plus d'une semaine de réflexion et 27 ans de vie pour finalement trouver la réponse. Ma drogue, je la coupe, je la mélange. Ce n'est pas uniquement une dose de sexe qu'il me faut. Non, il me faut plus. Tel un chimiste, je combine ; une dose d'amour, une dose de tendresse, une dose de récurrence.

En effet, il ne suffit pas de "largué la sauce" pour que je sois bien. Non, il me faut un contact humain, plonger mes yeux dans ceux de ma partenaire au bon moment, écouter sa respiration, ses cris ou gémissement, sentir son corps, sa moiteur, son odeur, son goût. Il faut que mes cinq sens soient utilisés.

Mais il me faut également combler le cœur, savoir qu'il y a des sentiments, que je ne fais pas ça comme une bête, machinalement pour la reproduction ou pour réduire la pression. Entendre un "je t'Aime" au bon moment, avoir le droit à un sourire durant l'acte, savoir que je fais l'Amour à un corps autant qu'à un cœur.

Mais ça n'est pas tout. Il y a aussi l'évolution. Après l'acte, s'endormir ensemble et le lendemain, se dire bonjour, prendre un café, discuter d'autre chose. Faire de cet acte un ciment et pas juste un moment passager. Faire que cette pierre vienne s'ajouter à l'édifice et non qu'elle finisse dans une marre pour le plaisir des ondulations.

Au cours de ma vie de drogué, je ne suis pas souvent arrivé à cette parfaite alchimie enivrante. J'ai souvent opté pour un mélange plus simple et plus rapide. Mais au final, il n'y a vraiment que cette combinaison optimale qui me fasse du bien sans le contrecoup, comme pour une drogue de bonne qualité et pas coupée avec de la merde. C'est cette alchimie qui me fait aimer la vie et continuer à me battre. C'est ma pierre philosophale, qui au lieu de transformer le plomb en or, transforme les montagnes impossibles à franchir en collinettes.

Après, j'ai bien entendu d'autres drogues, trop souvent de substitution, mais celle que je viens de vous mentionner, c'est la meilleur de toutes.

Et toi lecteur, quel est ta drogue ?

mardi 15 décembre 2009

Film #1 : Shortbus

Bonsoir lecteur,

Ce soir, critique de film. Ça ne fait pas de mal.

Shortbus, John Cameron Mitchell, 2006

Sofia est une sexologue qui n'a jamais connu l'orgasme et simule le plaisir depuis des années avec son mari Rob. Elle croise Severin, maîtresse dominatrice, décidée à l'aider. Deux patients de Sofia, James et son compagnon Jamie, songent à ouvrir leur sexualité à un troisième partenaire, Ceth, mais Jamie ne parvient pas à se décider...

Voici donc ce qui est écrit au dos de ce DVD. Au moins on est fixé, ça parle de sexe et ça ne fais pas que ça. Dès les premières scènes, on se croirait dans une film porno peut orthodoxe. Auto-fellation, rapports sexuels étrange et chevronné, domination et SM, bref, en 10 minutes, on apprend tout des personnages principaux de ce film. On comprend également au fur et à mesure pourquoi ils se livrent à ce genre de pratiques que les gens "bien pensant" qualifieraient de déviantes.

C'est Sofia qui va découvrir Shortbus sur une invitation de Jamie et James. Elle y découvrira des pratiques en tous genre et s'évertuera à découvrir le secret de l'orgasme. Je vous laisse quand même le suspense pour la fin du film.

Mon avis : J'ADORE !!!!!!!

Si l'on ôte le côté film X que certain pourraient voir là-dedans, c'est une véritable tranche de vie que l'on retrouve. Voir ces gens évoluer dans un monde qui nous est, pour la plupart, totalement inconnu, fuit ou honni est un vrai plaisir. Les scènes sont crue et souvent choquante, surtout au début. Les personnages sont des êtres qui ont des problèmes et qui essaient de les régler à leur façon, la seule qu'ils connaissent. J'y ai trouvé une détresse chez ces gens, mais aussi une humanité que trop de gens, bien pensant, c'est évident, ont perdu. Il y a également une recherche des sentiments, de soi-même et d'acceptation des autres.

Ce film m'a touché, je ne savais pas à quoi m'attendre quand je l'ai mis dans mon lecteur et je suis très content de l'avoir vu.
La scène avec le vieux maire de New York et Ceth m'a beaucoup plu.

Note : 8/10 cependant, je dirai : A NE PAS METTRE DANS TOUTES LES MAINS.
Encore une chose, les actes sexuels ne sont pas simulés.

dimanche 8 novembre 2009

Histoire #3

Bonsoir lecteur,

Ce soir, une histoire.

Il était une fois, un homme. Il était mineur et travaillait dur. Il extrayait des rochers de la montagne pour faire des maisons et c'était un travail épuisant.

Un jour, en abaissant sa pioche et en saisissant un morceau de tissu pour s'éponger le front, il leva la tête et vit luire le soleil au dessus de sa tête. C'est alors qu'il dit :
- Comme le soleil est puissant. Il domine tout et peut brûler si on le contrarie.
C'est alors que le soleil lui dit :
- Non, je ne suis pas si puissant que ça. Regarde ce nuage là-bas, il peut cacher mes rayons et m'empêcher d'être vu.

Le mineur regarda le nuage et dit :
- Oui, c'est vrai, le nuage est plus puissant que le soleil. Comme j'aimerai être le nuage.
C'est alors que le nuage qui l'entendit lui dit :
- Non, je ne suis pas si puissant que ça. Regarde le vent qui souffle là-bas. Il peut me pousser au loin et je ne peux rien y faire.

Le mineur regarda le vent et dit :
- Oui, c'est vrai, le vent est plus puissant que le nuage. Comme j'aimerai être le vent.
C'est alors que le vent lui dit :
- Non, je ne suis pas si puissant que ça. Regarde la montagne sur laquelle tu es, j'ai beau souffler elle ne bougera pas.

Le mineur regarda la montagne qui le supportait et dis :
- Oui, c'est vrai, la montagne est plus puissante que le vent. Comme j'aimerai être la montagne.
C'est alors que la montagne lui parla et dit :
- Non, je ne suis pas si puissante que ça. Sur mon flanc, je suis ronger, on m'enlève des morceaux et j'entends des "toc toc toc".

C'est alors que le mineur regarda sa pioche et repris son travail.

---Fin---

mercredi 4 novembre 2009

Foudroyante Lucidité

Une fois de plus, ce soir, la Folie m'a saisie la main et m'entraine sur sa piste de danse. Une fois de plus, je cède à ses mains délicates et nous écoutons sa mélodie sur un pas détendu. Puis nous accélérons, virevoltant au gré des notes sur la portée. Nous nous envolons en suivant les murmures du vent au travers des arbres, nous nous posons sur le son des cris de la nuit. Les rayons de lune nous porte jusqu'aux extrémités du raisonnable et nous le franchissons.

La danse s'embrase et son corps se fait plus pressant contre le mien. Je la sens, je sens son parfum, je sens la soie de sa robe glissé sous mes mains, je sens la chaleur de son être démentiel. Je sens ma vie glissée entre ses doigts. Et puis, elle plaques ses lèvres contre les miennes et je sens déferler en moi la mort de tout, sauf d'elle. Elle me possède.

Nous nous faisons une couche d'un brin de nuage et la soie glisse sur sa peau. Je sens l'odeur de ses cheveux, je sens ses ongles sur ma peau, je sens ses lèvres sur mes lèvres. Et je ne sens plus rien.

Puis la danse continue, mais à un rythme différent. Je sens ses dents parcourir mon corps, je sens ses ongles griffer ma chaire, je sens son haleine me brûler l'âme et me consumer. Puis elle se fait douce et lèche mes plaies, caresse ma tête et éponge mes larmes. Puis elle recommence en m'arrachant des cris. Et je ne ressent plus rien.

Elle me laisse prendre le dessus. Je sens que c'est faux, mais je le fait. Je la retourne, je joue avec, je me venge, je l'embrasse, je la griffe, je la mord. Je sens l'odeur de sa chair, envoutante et belle. Je sens mes doigts s'enlacer autour de siens, ma langue autour de sa langue, ses jambes autour des mienne et elle me possède une fois de plus. Et je ne ressent plus rien.

Puis elle me mord, obtenant de moi un dernier râle de plaisir et de douleur. Puis je meurt. Et je ne ressent plus rien.

Quand je me réveille, elle a disparu. Ne laissant derrière elle qu'un parfum de défaite, une robe de soie, une âme totalement déchirée et des draps gorgé de sueur.

Voici avec qui je couche depuis des lustres, voici mon amante, Folie. Démoniaque. En plus de me laisser comme ça, elle me laisse un autre cadeau. Une vision limpide du tout. Une foudroyante lucidité. Et comme nous, humains, ne pouvons supportée une telle clarté, je la rappelle et la danse reprend.

mercredi 14 octobre 2009

Bonsoir lecteur,

Ce soir, j'ai besoin de m'exprimer. La cause de ce trouble est qu'un ami souffre d'une maladie incurable qui va le mené, à terme, à la mort. Il ne sait pas dans combien de temps, les médecins ne savent pas.

C'est la première fois que j'éprouve une telle tristesse, détresse, égarement. Je suis impuissant, je ne peux rien faire. Pas de magie, pas de miracle, rien du tout, et ça me fout le moral en bas des chaussette.

J'ai peut-être commis une erreur. Je me suis laisser prendre dans cet engrenage, j'y ai mis des émotions et je n'ai peut-être pas réussit à me protéger correctement. J'aimerai me mettre en boule et me dire que ce n'est pas vrai. J'aimerai que qqun me caresse la tête et me dise que ce n'est qu'un mauvais rêve. Je suis en rage au fond de moi de cette impuissance, de la nullité de la médecine de ne pouvoir rien faire.

J'ai peur, j'ai mal, j'ai le blues et j'espère qu'en mettant ces quelques mots, ils m'aideront à faire face.

Mais en même temps le rationnel me dit qu'il lui reste quelques années à vivre. Et s'il m'est possible de faire en sorte qu'elles soient belles, je le ferai... mais pour le moment, ce n'est pas vraiment ce que je ressent.

dimanche 11 octobre 2009

Histoire #2

Bonsoir lecteur,

Ce soir, une histoire. Elle n'est pas de moi, mais m'a suffisamment marqué pour que je la retienne et que je vous la livre.

Il était une fois un homme sage et bon. Il avait fait de son mieux autour de lui pour apporter de la joie, du bonheur ou, à défaut de mieux, diminuer les malheurs des gens. Mais comme rien n'est immortel, un jour, il mourut.

Arrivant devant St-Pierre, ce dernier lui dit qu'il irait au paradis. Mais avant, et parce qu'il avait été réellement bon durant sa vie, il lui accorde un vœu. L'homme pris le temps de réfléchir. Il fini par demander à St-Pierre de lui montrer l'enfer. St-Pierre en fut étonné, mais il accepta.

Une fois en enfer, l'homme vit une grande maison. Il entra et découvrit une immense salle de banquet. Sur les tables fumaient des mets délicats et raffiné. Chaque hôte de ce banquet était pourvu d'une paire de baguettes chinoises de deux mètres de long. Évidemment, munis de ce genre d'outils pour manger, il n'y parvenais pas. Les morceaux saisi finissaient par terre et ils ne pouvaient pas les porter à leur bouche. L'homme resta à regarder la scène longuement, puis il s'en alla.

St-Pierre le conduisit donc au paradis. Là-bas, l'homme retrouva une grande maison. Entrant, il vit également une salle de banquet. Les plats y avaient l'air aussi délicieux qu'en enfer et chaque hôte avait également une paire de baguettes de deux mètres. La seul différence, c'est qu'au lieu de se démener à se nourrir, les hôtes nourrissaient la personne qui se trouvait de l'autre côté de la table.

L'homme pris place à la table, saisi les baguettes et se réjouit de pouvoir nourrir l'être en face de lui, se délectant lui-même des mets proposé par son partenaire pour l'éternité.

---Fin---

A chaque histoire, il y a une morale. Elle est différente pour chacun, mais on peut tous apprendre des histoires. La morale que je retire de cette histoire, c'est qu'à force de vouloir se remplir la panse sans penser aux autres, on fini toujours par avoir faim et à n'être jamais rassasier. Tandis que si l'on fait un peu attention aux autres, nous n'aurons plus jamais faim. Et qui plus est, ils nous surprendront souvent par leur originalité et leurs idées.

lundi 5 octobre 2009

L'Ame humaine #1

Bonsoir lecteur,

Ce soir, une question me taraude l'esprit. Ai-je une âme ?

Avant toute chose, il faut définir ce qu'est une âme. Je pencherai pour ma propre définition : l'Âme humaine est ce qui permet à l'être humain de ressentir les émotions.

Fort de cette définition, il y a moyen de commencer à réfléchir, mais il faut un sujet d'expérience et il n'y en a pas de meilleur que sois-même. C'est donc ainsi que je me porte cobaye et observateur.

Je dois posséder une âme. Je ris, je pleure, j'ai mal, je suis joyeux, j'ai peur, etc... donc, suite à la définition, j'ai une âme.
Et pourtant une chose me tracasse. Je ne ressent rien quand j'écoute de la musique. Je ne me sens pas transporter par les notes, je ne me sens pas plus léger, je ne vibre pas. La musique en elle-même ne m'apporte rien, si ce n'est une espèce de bouchage de trou, une présence pour masquer la solitude.

Cependant, certaines chansons, mélodies et refrains me font vibrer parce qu'ils sont reliés à des souvenirs et ces souvenirs sont chargé d'émotions et que, du coup, les émotions que me font vivre ces chansons sont identiques à celles de mes souvenirs.
Pour ceux qui ne comprendraient pas, prenez un verre d'eau, il n'a ni goût, ni odeur, ni couleur et il a tendance à passer inaperçu. Mais rajoutez-lui un peu de sirop de fraise et il possède toutes la qualités requises pour plaire aux enfants et aux adultes gourmands.

Cette constatation m'ayant percutée, es-ce que mon âme est complète ? Es-ce qu'elle possède divers degrés de sensibilité ? Es-ce qu'elle évolue ? Es-ce que l'on peut la modifier "réellement" ?

Si nous prenons le coup classique des âmes-sœurs, ça signifierai que nos âmes ne sont pas complètes. Les bouddhistes disent qu'elle est en perpétuelle évolution, se modifiant au gré des réincarnations, grandissant telle une plante. Qu'en est-il réellement et qu'en est-il de mon âme ?

Si je reprend ma définition, concernant la musique, je crois que je n'ai pas d'âme. La musique me sert juste à me souvenir de chose.

Et vous lecteur ? Avez-vous des manques dans vos âmes ? Avez vous aussi des supports pour la faire ressurgir ? Qu'en pensez-vous ?

mercredi 16 septembre 2009

Je suis génial

Bonsoir lecteur,

Ce n'est pas que je n'ai pas de sujet, mais je trouve plus intéressent de me perdre que de vous servir de lumière dans le noir qu'est votre vie.

Bientôt vous entendrez encore parler de moi, vous critiquer et vous cracher dessus, mais pas tout de suite, pas tout de suite.

jeudi 10 septembre 2009

Quel âge as-tu à la fin, bordel !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, sujet houleux. Effectivement, je vais parler de l'âge des femmes, apparent ou réel. Cependant, avant d'entrer dans les détails sur ce sujet souvent fuit de la gente féminine, il faut noter quelques précisions.

L'homme, quelque soit son âge a toujours dans un coin de sa tête une partie exclusivement réservée au sexe. C'est pour cela que ça en fait souvent un être peu délicat quand le reste de son cerveau est endormi. A chaque fois qu'une femme entre dans son champ de vision, il y a montée d'hormone et il y a, même inconsciemment, évaluation du potentiel de reproduction ou de plaisir de celle-ci. Maintenant que vous êtes au courant, si ça n'était pas déjà le cas avant, on peut entrer dans le vif du sujet.

Constatation sur les femmes : toutes mentent sur leur âge ou feignent de l'ignorer. Sujet qu'elles n'aiment pas aborder, évitent, voire fuient. Et même celles qui sont fière de leur âge ne peuvent s'empêcher d'avoir recourt au maquillage et apprécient au plus haut point le fait de s'entendre dire qu'elles ne font pas leur âge.
Les jeunes filles veulent paraître plus mûrs, adultes et majeur. Les femmes plus vieilles veulent êtres plus jeunes, fraîche et pleine de vie. Et elles y arrivent bien, parfois trop bien, il faut le reconnaître.

Prenons un homme lambda. Se baladant dans la rue, il croise nombre de femme. Son oeil se posant sur celle qui retienne sont attention car elles font partie de sa "sélections" ou ensemble de critères qui font qu'il les trouvent désirable. Le problème réelle, c'est qu'un de ces critères est l'âge. Et malheureusement, pour un homme lambda se baladant sans repère (voir plus bas), souvent, il tombe sur une femme trop jeune ou trop vieille par rapport à ce qu'il attend réellement. Le fait es que si cet homme décide d'engager la discussion avec une femme et de voir ou ça va le mener, il a des chance de se faire traiter de pervers, violeur ou pédophile s'il est par hasard tomber sur une jeune fille de 14 ans qui en faisait 22 ou qu'il tombe sur une femme d'âge mur qui ne désire pas du tout les même choses que lui.

Il y a cependant des moyens d'éviter ce genre de désagrément, ce sont des repères. Un exemple tout simple de repère, c'est les classes de cours et les écoles. Effectivement, il y a de forte chance pour que dans une classe d'école, les personnes qui y soient aient plus ou moins le même âge, aucun risque de draguer une minette de 14 ans dans sa classe de hautes écoles. Seulement, au bout d'un moment, on quitte les bancs et ces repères disparaissent.
Il y a également l'entourage et les dialogues. Effectivement, une jeune fille de 16 ans, même si elle en paraît 24 n'aura pas les même sujets de discussion, ni les même amies qu'une femme réellement plus âgée. Cependant, il arrive souvent qu'un groupe de femme ne soient qu'un amas de pintades gloussantes... tout autant qu'un groupe d'homme n'est, souvent, qu'un groupe de porcs machos reluquant tout ce qui bouge.

Tout ceci étant dit, il faut aussi admettre que le monde s'en fiche et que la vie suit son long cheminement tranquille. Les hommes chercheront toujours vigueur et jeunesse chez les femmes et les femmes trouveront toujours le moyen de repousser les effets du vieillissement ou de se faire plus âgée qu'elles ne le sont vraiment, tout ça pour entrer finalement dans le grand jeu de la séduction, du sexe et, au final, servira la reproduction d'une espèce.

mercredi 9 septembre 2009

Et vous, combien prendriez-vous ?

Bonsoir lecteur,

Cette discussion a été abordée lors d'une soirée entre amis, tard le soir, dans un bistrot bien connu de ceux qui le fréquente. Comme toute discussion qui se respecte, le sujet de départ n'avait rien à voir avec celui-ci, mais a un moment, une question fut posée : combien prendriez-vous pour tuer quelqu'un ?

Un inconnu, un type méchant, un criminel, un violeur, une mère au foyer, un enfant, un bébé ou un ami. Beaucoup de clicher y sont passé et pour certain, les prix variaient, mais ils étaient présent. 200'000.- pour un inconnu, 500'000 pour celui-ci, 300'000 pour celui-là et même gratuitement pour certain. Vient subitement le moment, intéressent, de savoir combien nous prendrions pour tuer un des membres autour de la table. Un moment de silence tomba car il n'est pas forcément évident d'annoncer à un de ses amis assis à côté de soi que si quelqu'un nous proposait 1'000'000.- on allait le tuer.

1'000'000 fut le prix que j'estimais être assez juste pour tuer un proche. Cependant, ne réalisant pas réellement ce que représentait cette somme, elle n'est que fictive et au final, il m'en faudrait peut-être beaucoup plus pour tuer quelqu'un que je considère comme un ami... ou moins... aller savoir.

La véritable information que je retire de cette discussion, c'est que nous avons tous réfléchi à combien valait la vie d'un autre. Bien entendu, au final, il y en a toujours qui disent qu'il ne pourraient jamais le faire. Je n'y crois pas et je pense que tout le monde à un prix. Pas forcément en argent, car beaucoup d'idéaliste pensent qu'ils peuvent s'en passer et je suis enclin à croire qu'ils n'ont pas totalement tord. Mais on peut aussi payer en service, nature, avantages. Chacun à un point faible ou un vice qu'il s'agit d'exploiter au mieux et qui peut le pousser à faire des actes qu'il ne se serai pas cru capable de faire. Le tout est au final de savoir ce que désire l'acheteur et de trouver la personne qui est dans un tel besoin qu'elle est prête à sacrifier une part de son intégrité moral et de ses convictions.

Tout le monde à un prix. Et vous, combien prendriez-vous ?

Le retour

Voilà, voilà.

Après de longs mois d'absence, j'ai de nouveau une connexion internet et je peux donc recommencer à écrire la nuit venue.

Je vais pouvoir recommencer à vomir sur les gens... ou pas. Non pas que ça me déplait, mais il faut parfois faire les choses différemment. Ça m'a fait du bien de critiquer, fustiger et décrier des comportements, attitudes ou façon de voir et faire les choses, mais il faut savoir changer et évoluer. Non pas que la race humaine soit devenue plus intelligente, loin de là. La majorité d'entre nous reste et restera toujours une bande de moutons craintifs et sans envergure, mais c'est comme ça.

Je vais plutôt me laisser aller à mes envies et mes émotions. Peut-être dur, peut-être tendre, peut-être mielleux au point d'en être diabétique pour certain, je ne vois pas pourquoi je me retiendrai de faire ce qu'il me plaît, après tout, c'est mon blog.

Vous êtes averti.

mercredi 6 mai 2009

Le foot vous hait tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, je vais cracher sur votre sacro-saint sport. Le foot par exemple.

A la base, un sport comme un autre. 22 humains qui n'ont pas assez de jugeotte et qui ont décidé de courir après une balle plutôt que d'inventer un moyen de nourrir les populations. Mais soit, jusque là, vous faites ce que vous voulez de votre matière grise et de vos muscles.

Non, ce n'est pas réellement ça qui me donne envie de vomir. Ce qui me donne envie de vomir, c'est le reste. Prenons un match de foot classique. 2 équipes, 4 arbitres, une craquée de parasite sur les bancs à essayer de crier plus fort que l'autre côté et plein de supporters ridicules dans les gradins.

Commençons par l'entraineur et son équipe. Ils font leur boulot, ils crient sur les joueurs pour qu'ils fassent ce qu'ils veulent, pensant qu'ils savent forcément mieux comment gagner un match alors qu'ils ne sont pas sur le terrain. Mais effectivement, là, c'est le cerveau, le type qui fait tellement de stratégie que parfois, ils en oublient même de marquer des but.

Les arbitres. Ils font aussi leur boulot. Souvent mauvais, parfois vendu, rarement bon... ils ont le mauvais rôle. Mais en même temps, a croire qu'ils aiment ça. Et plus ça va, plus je pense que les arbitres ne sont pas choisi parce qu'ils sont bon, mais parce qu'ils sont moins mauvais que les autres.

Les joueurs. Là, on commence à rentrer dans le crétinisme absolu. Ces mecs sont payée des fortunes pour toucher un morceau de cuir. Ensuite, ils s'entrainent à longueur de journée pour viser un but énorme. Et au moment du match, ils sont incapable de mettre un seul tir cadré. Et on les félicitent quand ils marquent... mais putain, c'est leur job. Moi, si je fais mal mon job une journée, on me crie dessus alors qu'eux, s'ils font correctement leur boulot, on les félicite et on prend ça pour une espèce de bénédiction... de qui se fout-on ?

Et maintenant, la craquée de supporters. Supporter une équipe, en soit, n'est pas un crime. On peut être fervent pour l'équipe du coin car on connait des potes qui y jouent. Mais tous le reste est ridicule !!!! Pourquoi supporter une équipe nationale ? Vous n'avez rien d'autre à faire ? Vous n'avez aucunes autres raisons d'être fière ? Comment osez-vous dire "On a gagner !!!", vous n'avez rien fait pour, vous n'étiez pas sur le terrain, vous n'étiez pas dans le staff, vous n'êtes que des buveurs de bières au bistrots ! Cette équipe que vous adulez ne vous doit rien du tout.
Mais les pires d'entre vous, c'est les fétichistes. A la limite on peut apprécier les performances d'un joueur ou aimer son petit cul si vous êtes de ce style, mais arrêtez de les vénérer comme des dieux. Ce ne sont qu'une bande de type muscler qui courent après une boule ronde. N'importe quel otarie arrive à faire plus de truc qu'eux avec une balle.

Exercice : réfléchissez a la signification du sport et pensez maintenant à ce que le foot deviens. Argent, pouvoir, influence... au final, les matchs ne sont là que pour valider le reste... il ne reste rien de l'esprit du sport, bouffé par l'argent !

jeudi 30 avril 2009

Histoire #1

Bonsoir lecteur,

Voici ce soir une histoire. C'est une histoire d'amour et ma façon de faire avec les gens. Et comme toutes les histoires...

Il était une fois, deux jeunes garçons. Ils étaient voisins et partageaient de nombreuses choses ensemble, notamment une passion pour les oiseaux. Un jour, une de leur connaissance revint d'un long voyage. Il leur avait apporté un souvenir. Deux oiseaux au plumage magnifique et dont le chant ravissait les oreilles. Les deux enfants en prirent chacun un et rentrèrent chez eux.

Le premier enfant mis l'oiseau dans une cage spéciale. Très grande, l'oiseau pouvait voler a sa guise. Il le nourrissait bien et veillait sur lui comme un père sur son enfant. Cependant, au fil du temps, l'oiseau perdit de sa superbe et son chant se fit moins ravissant. Intrigué par ce problème, il alla voir son ami et voisin pour lui demander si lui aussi avait ce genre de problème.

Arrivé chez son ami, il demanda à voir l'oiseau. Ils se dirigèrent donc dans le jardin et ils allèrent sous un grand arbre. Le deuxième garçon désigna du doigt un point sur l'arbre, un nid ou se trouvait l'oiseau. Stupéfait, le premier garçon demanda s'il n'avait pas peur que l'oiseau s'en aille. C'est alors qu'il reçu comme réponse un sourire et le deuxième garçon lui dit :
- Oui, peut-être, mais il sera heureux en liberté et tant qu'il est heureux, je le suis aussi.

Sur ces paroles, le premier garçon rentra chez lui, pris délicatement son oiseau et le porta dehors. L'oiseau s'envola et il ne le revit jamais.

Fin.

La moralité de cette histoire, c'est qu'il faut laisser la liberté au gens que vous aimez. Si vous les forcer à rester à vos côté, même dans une cage dorée, à la première occasion, ils fuiront et vous ne les reverrez peut-être jamais. Vous perdrez alors quelque chose d'irremplaçable.

Bonne nuit lecteur, puisses-tu méditer cette histoire.

mercredi 29 avril 2009

Le temps vous hait tous !

Bonsoir lecteur,

ça fait un moment que je n'ai plus rien écrit. Non pas que je n'ai pas envie de vous montrer à quel point vous êtes souvent minable, mais surtout parce que je n'avais pas le temps.

Stupidité ! Nous avons tous 24h dans une journée, comment expliquer que certaines personnes arrivent à faire ce qu'elles veulent alors que d'autre n'y arrivent jamais ?

La véritable raison, c'est que je n'ai pas pris le temps. Non, j'ai préférer faire autre chose, faire passer certaines choses avant d'autres. Vous aller me dire que c'est normal et vous aurez raison... mais alors, ne venez pas me dire que vous n'avez pas eu le temps. Assumez vos choix et dites au moins que vous n'avez pas pris le temps. Vous ferez au moins un pas en avant vers l'acceptation de vous-même.

Tout ceci pour arriver à la réelle utilité de votre temps. Plus je me déplace dans les villes et autres endroits, plus je me rend compte que bon nombre d'entre vous ne prend pas le temps de communiquer avec son voisin. Vous vous dites bonjour machinalement, sans réfléchir à la réelle signification de ce mot. Vous ne prenez pas la peine de regarder les gens et de leur sourire, vous êtes presser par vos petits soucis personnels ou alors, vous ne vous contentez que de votre entourage proche.

Avez-vous peur à ce point des étrangers pour ne pas prendre le temps de les regarder, de leur sourire, de leur parler ou de leur adresser un signe de salut amical ?
Si chacun prenait un peu de temps pour sourire aux gens, le monde n'irai pas plus mal et vous vous sentiriez beaucoup mieux.

Réfléchissez à l'utilisation de votre temps, car le nombre de minute perdue à vous plonger sur votre propre vie pour des prunes est colossale.

mardi 7 avril 2009

Les déménagements vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, constat surprenant sur le fait de déménager. Et oui, si je n'ai pas écrit pendant tout ce temps sur vos misérables manies, c'est que je déménageais.

Avez-vous remarqué le ridicule d'un déménagement ? D'abord, il y a la courses pour savoir ou déménager, choisir le petit coin idéal, trouver la perle rare et surtout abordable niveau prix. Ensuite, il y a la paperasse à remplir. Encore et toujours ces foutus papiers à aller chercher. Et à chaque fois, on paie.

Viens ensuite la course au carton. Sauf si vous avez fait des réserves de cartons depuis 1910, vous n'en aurez jamais assez ! Et ne parlons pas de l'emballage. Comment avons-nous pu emmagasiner autant de bordel. Car il s'agit bien de bordel. Des vieilleries cassées, des objets inutiles, des "choses" dont on ne sais même plus se servir... Et ne parlons pas de la vaisselle accumulée depuis trois générations par nos parents et leur parents avant eux. Des choses moches que l'on garde... pourquoi ? Parce que c'est sentimental ? "Ho, regarde, c'est dans cette assiette que ton arrière-grand-mère à manger à son repas de noce". Ridicule.

Ensuite, une fois que les cartons sont fait, il faut tout transporter. Meuble, carton, animaux, famille... souvent sur plusieurs kilomètres. Alors on charge les voitures, camions et trottinettes. Et une fois que tout est bien mis, telle un champion de Tetris, il y a toujours une pièce qui ne va pas et on doit tous refaire !

Mais le plus intéressent reste à venir. Arrivé dans le nouveau lieu de vie, on installe les meubles et on commence à vider. Et c'est là que le ridicule commence réellement. On emmagasine encore, même si on s'est bien rendu compte que ça ne servait à rien, on rempli sa cave, son grenier des choses que l'on ne veut pas ou que l'on ne peut pas mettre dans sa maison/appartement.

Mais le summum, c'est quand on se rend compte que l'on va devoir recommencer tout ça dans quelques mois, et le même cirque recommence, encore et encore.

jeudi 26 mars 2009

Les premières fois vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Après la violence sentimentale, un peu de romantisme et de nostalgie. C'est en parlant avec une connaissance que je me suis souvenu des premières fois. Pas uniquement sexuelles. Non, il y a une première fois pour tout. La première respiration, le premier bobo, la première punition, la première note en classe... tous ces moments uniques et trop souvent oubliés.

Mais ceux qu'on garde en mémoire, c'est souvent les moments à deux. Le premier baiser de votre vie, vous vous en souvenez ? D'abord le regard, puis l'approche souvent timide de deux visages, le coeur qui bat fort, la respiration qui s'accélère... un moment d'éternité. On réfléchi ; de quel côté penché la tête ? Es-ce que j'ai une bonne haleine ? Es-ce que je vais réussir à être à la hauteur ? Puis viens le contact des lèvres. Big bang, explosion, émotion, raz de marée, le cerveau déconnecte, le coeur s'emballe, les mains sont humides... moment d'éternité également. C'est beau. On est sur un petit nuage, on flotte. Le monde est devenu soudain plus éclairé, plus beau.

Puis vient LA Première Fois. Nu l'un contre l'autre, deux corps. La peur, on ne sait pas comment faire, on ne sait pas comment ça va se passer. Souvent une première fois douloureuse sentimentalement et parfois physiquement. On ne satisfait pas totalement ses attentes. Ou au contraire, c'est un moment fantastique. L'union de deux être par la chair. A chacun son expérience.

Viens aussi la première rupture. La douleur, la peine, la solitude, la peur. On doute ; retrouverais-je quelqu'un comme lui/elle ? M'aimera-t-on encore ? Ais-je fait quelque chose de mal ? Comment survivre sans toi ? Viens souvent au même moments les premiers oublis. Le cerveau efface les moments trop difficile pour le coeur.

Viens après un nouvelle amour. Et bien que n'étant pas la première fois, c'est un renouveau car c'est la première fois avec lui/elle. On recommence à avoir peur, les mains moites, etc... et c'est à nouveau beau, on se retrouve comme le premier jour.

Viens aussi le premier mariage, puis le premier enfant. A chaque fois, on tremble devant cet inconnu qui nous fait vivre des émotions nouvelles et terribles. Ça chamboule notre vie. A chaque première fois, on se découvre une nouvelle facette, une nouvelle peur et une nouvelle façon de la gérer.

Les premières fois sont révélatrices de notre être profond. Elles nous font évoluer.

Puis, finalement, vient l'unique première fois. L'expérience qu'on ne vit qu'une fois... la mort. Cette unique expérience nous terrorise souvent. L'Ultime Première Fois. La seul dont on ne sait rien au final.

Lecteur, si tu as la capacité, essai de retenir tes premières fois car ce sont des moments merveilleux.

mercredi 25 mars 2009

Je la hait !!!

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mon vomi se répand sur une personne en particulier, mais la décence m'interdit de nommé cette personne ici. Cependant, sachez que mon ressentir vis-à-vis de cette personne est profond de même que pour les personnes dans son genre.

Cette personne m'a gâchée la soirée. Soyons franc. Elle m'a carrément pourri une journée que j''aurai pu qualifié de "bonne".

Ce genre de personne use de mensonges pour s'attirer les attentions des autres. Souvent, elles se plaignent de douleur ou de malaise pour qu'on les regardes. Et si ces personnes trouvent une "bonne poire" pour leur rendre ce genre de service, elles en abusent.

J'ai été victime d'une de ces personnes ce soir. Juste une blague paraît-il. MON CUL OUI !!!!
Une mauvaise blague d'abord et ensuite, quand j'ai vu cette personne elle s'est permis de m'insulter et de m'envoyer bouler !

Je ne me ferai plus avoir par cette personne. Il ne faut pas prendre des gens pour des cons trop longtemps non plus.

Si tu lis ces lignes jeune fille, ce que je doute, vu ton niveau intellectuelle, sache que tu peux aller pourrir en enfer avec tes histoires ! Je te méprise car tu ne mérite que ça, cloporte !

mercredi 18 mars 2009

La société vous hait tous #1

Bonsoir lecteur,

Ce soir, pas de vomi sur vos attitudes stupides et irréfléchies. Je suis sous le choc. Heureusement qu'il y a des gens qui me font réfléchir sur cette terre. Ils sont rares, mais ils sont là ! Et je ne saurai leur dire à quel point ils sont important.

La société vous hais. Elle vous détruit de maintes et maintes façons. Elle tend ses pièges dans les recoins sombres de vos vies, sur des passages obligés de votre existence.

Elle vous façonne. Vous devez d'abord avoir un travail pour être accepter. Combien de gens font un travail qu'il n'aime pas. Il faut bien payé le loyer direz-vous... et c'est là que vous vous rendez compte que la société vous a moulé à son image.

Après le travail, il faut les relations sociales, être en couple et fonder une famille. Ça fait bien. Et c'est tellement encrer dans la société, qu'on n'y fait plus attention. Il vous suffit de regarder les publicités : "encore seul ?" ou "toujours célibataire ?" et après, le slogan "trouver l'amour sur internet !" ou "100% de succès !". Combien de personne pense que les gens célibataires, après un certain âge, ont un problème ou sont gay ?

Une fois que vous avez le travail et la famille, il vous faut le statut social. Celui qui vous fera devenir quelqu'un et plus simplement le petit travailleur. Certaines personnes sont d'ailleurs tellement obnubilées par ce statut social qu'il laisse tomber tout le reste. Rien n'importe plus que leur accessions aux hautes sphères du pouvoir.

Mais le pire dans tout ça, c'est que la société modèle vos rêves ! Elle vous assaille de soucis, de stress et de difficultés. Petit à petit, vos rêves ne deviennent que des idées ou des "j'aimerai bien". Et puis, un beau jour, vous avez des rêves, mais ce ne sont plus les votre. Ce sont ceux d'une idée de la société. J'aimerai avoir une augmentation, j'aimerai avoir un/e copain/ine, j'aimerai me marier et fonder une famille...

Il y a des gens qui rêvent de ça dès leur plus jeune âge. Ils sont des purs produits de la sociétés, mais ils arrivent à garder leurs rêves. Tandis que les autres, fort peu arrive à garder la tête hors de l'eau toute leur vie.

Lecteur, n'oublie jamais les rêves de ton coeur. JAMAIS !

lundi 16 mars 2009

Fuck !

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...
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Fuck.
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...
...

jeudi 12 mars 2009

Vous vous faites avoir, Tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mes crachats éclabousseront les gens qui profitent de la misère pour vous demander un don en argent ou une faveur.

Chacun sais que le monde ne va pas bien. Des enfants sont employés comme travailleurs sous-exploités ou servi en pâture à des pédophiles, des gens meurent de faim. Combien de personnes sur cette terre se ruine la vie pour une bouchée de pain ? Et je ne parle pas des guerres qui font des victimes innocentes. Non, le monde ne va pas bien.

Mais parmi tous les cafards rampants, il y en a qui usent de ça pour vous demander de l'argent.

Vous avez certainement déjà été arrêté dans la rue par une personne qui vous tend un papier, une photo ou même qui se trouve avec un enfant sale et peut-être même mutilé et qui vous demande un sous pour manger. Vous avez peut-être déjà reçu, surtout en période de fête comme Noël, un e-mail avec une vidéo ou des photos de gens dans la misère et vous disant quelque chose comme "Vous êtes triste ? Pensez à eux, faites un don !".

La vermine qui utilise ces techniques ne sont souvent que des menteurs et des arnaqueurs. Ils vous font comprendre qu'il y a plus malheureux que vous et que vous devez l'aider, lui, pas les personnes sur les photos ou même l'enfant qui l'accompagne. Leur seul motivation est leur propre bien-être.

Avez-vous déjà essayer de leur poser des questions sur ces gens qu'il montre ou sur leur fils qui se trouve à l'hôpital ? Dès que vous leur poser des questions, ils prétendent qu'ils ne comprennent pas la langue et si vous insistez, ils s'en vont en vous faisant comprendre que vous êtes un être sans coeur. Ou vous avez peut-être déjà essayer de les "payer" en nature. Un sandwich ou une bouteille d'eau. Souvent, ils vous regardent avec cet air de dépit et de mépris et refuse votre don.

Ces êtres, lecteur, sont un ramassis d'égoïste, de manipulateur, de menteurs, d'hypocrite et parfois même de tortionnaire.

La misère des gens est un fait bien réelle et je le déplore, mais l'utiliser comme ça, c'est un crime contre l'humanité !
Et le pire dans cette histoire, c'est qu'il y a des gens assez naïfs qui y croient et qui se sentent fier d'avoir donné une pièce ou fait un don à ces gens. Ça aussi, c'est un crime.

mercredi 11 mars 2009

Vos parents vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un titre choquant. Mais avant de brandir vos étendards de guerre, vos fourches et vos torches enflammées, prenez la peine de lire ce qui suit. Si après la lecture de l'article, vous avez encore envie de me lyncher, allez-y.

Laissez-moi vous raconter une histoire. C'est un jeune homme qui, un beau matin, pose une innocente question et soudain, sa vie explose. Tous son monde se transforme. Les certitudes qu'il avait vole en éclat, la peur l'envahis mais en même temps, le sentiment de sérénité et de paix se glissent en lui. Le choix était bon.

Le temps passe et le jeune homme réfléchi beaucoup. Il pense à ses actes passés, présents et futures. Soudain, il se rend compte d'une chose, il ne s'aime pas, il n'est pas et n'a jamais été fier de lui. Même si ses amis lui dise qu'il a accompli des choses dont il pourrait être fier, il ne l'est pas, il en est incapable.

Cette histoire, c'est la mienne.

Je suis incapable d'être fier de moi. Alors, j'ai chercher les causes de ce malêtre. J'ai creusé très profondément et j'ai fini par trouver : mes parents ne m'ont pas appris à être fier de moi, de mes actes.

A chaque fois que je rapportais un bulletin de note, il y avait des branches qui n'allait pas. Il fallait que j'approfondisse telle ou telle matière parce que je n'étais pas bon. Je faisais des bêtises, j'étais grondé. Mais jamais félicité.
Après avoir bien réfléchi, ça ne doit pas être vrai, je devais avoir reçu des félicitations, mais je ne les ai pas gardée au fond de moi, j'ai gardé le mauvais, car pour un enfant, quand ses parents ne sont pas content ou qu'ils lui font une remarque, ça le perturbe plus que des félicitations.

Les parents sont les premières personnes pour qui l'enfant veut exister. Il veut leur faire plaisir, qu'ils soient fier de lui, qu'ils le félicitent. Si parfois il échoue, il prend peur. Que vont dire mes parents ? Mais pire encore, dès qu'un enfant est fier de lui, qu'il va, la tête haute, montrer à ses parents une bonne note, une bonne action et que ses parents l'ignore ou le blâme parce que la note n'est pas assez haute à leur goût, l'enfant perd confiance. Blessé, il se demande si la prochaine fois, ses parents seront fier de lui ou s'il devra encore souffrir des remontrances.

Cet acte, parents, est un acte terroriste vis-à-vis de votre enfant. VOUS êtes les personnes les plus importante dans sa vie. A travers VOUS, il va se forger une identité, des défauts, des qualités. VOS paroles sont la vérité. Vous ne vous rendez pas assez compte du pouvoir que vous avez sur vos enfants.

Les parents sont cependant des humains comme les autres. On ne suit pas des cours pour être parents, on le devient sur le tas. Certains sont bon, d'autre moins et certains misérables humains sont des parents pitoyables, lâches et idiots. Mes parents m'aiment et globalement, ce sont de bon parent, mais ils ont commis des erreurs. Ce n'est pas grave, personne n'est parfait, mais maintenant, je vais devoir réapprendre à être fier de moi. Un travail de fond qui me prendra peut-être des années voir qui ne sera jamais atteint.

Ce que je voulais dire a travers cet article, c'est :

Parents, prenez conscience de votre importance pour votre enfant. En une seul phrase, vous pouvez gâcher sa vie. Faites attention.

lundi 9 mars 2009

Coup de Gueule #1

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un coup de gueule.

Je ne veux citer personne par respect pour les familles qui ont été victime de telles personnes.

Mais parmi vos congénères, lecteur, il y a des êtes qui ne respectent rien. Ils ne veulent qu'assouvir leurs pulsions meurtrière, destructrice, sexuel et égoïste.
Ces êtres doivent être arrêtés et enfermés. Je vous dirai bien qu'il faut les laisser croupir dans une fosse de fange, mais ça serai céder à la haine.
Non, au contraire, la seul chose que ces personnes méritent, c'est de la pitié. Pitié pour leur condition d'esclave. Ces personnes doivent être soignées ou au moins, traitées pour qu'elles ne puissent plus faire de mal.

Je ne vous parle pas d'exécution, je suis contre la peine de mort !

Au lieu de mettre de l'argent dans des armes, les états devraient mettre à profit ces sommes pour ouvrir des infrastructures adéquates. Seulement, ça ne rapporte pas assez !!!

Gouvernement aveugle, sachez que par votre inaction, vous êtes autant des criminels que les personnes qui commettent ces actes !

dimanche 8 mars 2009

Merci !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, pas de venin, pas de vomi et pas de rancœur. Ce n'est pas que j'ai fini de cracher sur les attitudes des gens, mais parfois, il faut savoir lever le pied pour mieux redémarrer après.

J'avais envie d'écrire sur le bonheur.

Etre heureux, qu'es-ce que c'est selon vous ?

J'en vois déjà qui se disent : avoir une famille, avoir des enfants, une femme, un chien. Ou alors de l'argent, être en bonne santé, etc. Toutes ces choses ridicules que tout le monde vous sort bien trop souvent pour être réellement vrai.

Certe, famille, argent et santé font partie du bonheur. Mais es-ce vraiment votre bonheur ? Es-ce que c'est la chose qui rempli votre âme de joie ? Es-ce que c'est la chose qui, si vous ne l'aviez plus, vous ne pourriez plus vivre dans la joie ? Voilà la réelle question a mon sens.

Lecteur, si tu réponds à cette question, tu as de forte chance d'aller de l'avant, de devenir meilleur, plus à l'écoute des autres et peut-être même... quelqu'un de bien.

Et une fois n'est pas coutume, je vais te confier mon bonheur. ça m'a pris beaucoup de temps pour trouver ce qui me rendais réellement heureux. De passer par dessus les réponses toute faites et de creuser.

J'aime les relations avec les gens, j'aime les regards dans les yeux, les sourires, la complicité. J'aime voir dans tes yeux que je ne suis pas n'importe qui. J'aime les silences rempli de sentiments et d'émotion. J'aime serrer les gens dans mes bras. J'aime leur exprimer mon affection et ma tendresse. J'aime être avec les gens que j'apprécie. J'aime rencontrer des nouvelles têtes et partager avec elles des nouvelles expériences. J'aime rire avec vous.

Et même si je vous critique parce que vous faites des trucs souvent complètement stupide :

J'aime vivre avec vous et partager des moments de vie !

Merci à mon âme-soeur pour m'avoir permis d'ouvrir les yeux. Les cieux, le destin ou tout autre forme de puissance nous a mis sur la route l'un de l'autre et grâce à elle, je suis devenu meilleur. C'est le coeur rempli d'Amour, de Tendresse, d'Affection que je la laisse maintenant s'envolée car on ne capture pas un rire, on le partage.

Merci

samedi 7 mars 2009

Vous vous racontez vous-même !

Bonsoir lecteur,

Ce soir mes propos viseront les gens qui savent tout sur tout. Ces être d'une lassitude incroyable, horripilants et simplement envahissants.

Ils ont déjà tout vu, tout vécu, tout entendu. Leur vie ne sert qu'à dispenser leur immense savoir, leurs connaissances infinies et surtout, vous montrer que vous ne savez rien. Leur savoir est telle qu'ils sont persuadés de vivre la vie parfaite et vous "invite" à faire de même et suivre leur exemple.

Vous pouvez parler de n'importe quel sujet, ils auront toujours une anecdote à vous raconter. Dans leurs histoires, ils seront toujours le centre d'intérêt, l'être actif telle le héros d'un film d'action. Bravant dangers, brandissant mots ou armes et faisant preuve de culot, ils vaincront l'adversité et c'est grâce à eux que tout se fini bien. Ou alors, ils vous raconteront comment tel ou tel édifice est beau ou moche, rajoutant couche après couche leur monologue.

Et s'il n'y avait que cela. Non. En plus de l'ouvrir toute les cinq minutes pour dire des platitudes insignifiantes, ils ne supportent pas d'avoir tord ou de ne pas pouvoir parler. Prenez un sujet qu'ils maîtrisent moins bien (car, ils maîtrisent tous les sujets) et piégez les. Premièrement, ils n'ont jamais tord et si par hasard vous leur prouvez leurs tords, c'est vous le fautif car vous n'expliquez pas bien ou toutes autres excuses. Encore une fois, s'ils ne peuvent pas parler, ils vont chercher à aller sur un sujet pour pouvoir déblatérer.

Ces êtres insupportable ne vivent que dans le souvenir de leur vie et il ne font que broder autour de nouvelles histoires, de nouvelles versions et ne sont pas des gens intéressent, mais des gens lassant, plat et dirigiste. Il ne vivent que pour l'admiration que leur porte les plus influençable de leur congénère.

jeudi 5 mars 2009

Vous vous malmenez tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mon venin va viser les gens qui se complaisent dans leurs malheurs.

Tous le monde subit des moments difficiles dans la vie. La mort d'un être cher, la rupture d'un couple, le départ de proche à qui l'ont tiens.
Il est normal d'avoir des moments de tristesse, de doute, d'incertitude et de faiblesse.

Seulement, certaines larves de l'espèce humaine se vautrent dans leurs problèmes, telle des sangliers dans la boue, que ça en devient écœurant. Ils s'en badigeonnent tellement qu'on les vois arrivé de loin. Le regard bas, les yeux cerné, la démarche lente et pesante, chaque geste transpire la douleur contenue en eux. A chaque fois que vous leur demander si ça va, ils vous disent qu'il faut bien vivre, la vie continue ou tout simplement "non" et ça dure depuis longtemps.

Ces êtres pitoyables ont une vie encore plus ridicule que la votre. Ils sont tellement insignifiant qu'ils doivent se parer de leur plus beau problème pour se faire remarquer. Portant fièrement, dans une mascarade complète, le deuil de leur couple tant aimé, mais fini depuis plus de 10 ans ou la perte de leur "Seul Réel Amour". Ces êtres se repaissent de la peine, pitié et attention qu'on leur accorde.

Si par hasard, vous ne leur prêtez pas assez attention, ils vont vers d'autres victimes ou alors ils en rajoute. Comme on fait briller un bijou, ils font miroiter plus de problème. Un soudain problème de santé, une douleur, une crise, un évanouissement, un proche qui est dans les ennuis et qu'on ne sait pas aider. Ils iront même jusqu'à inventer des problèmes.

Ces êtes misérables ne mérite rien. Juste une longue agonie dans leur propre fange.

Vous vous mentez tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, ma gerbe de dégoût se porte sur les gens qui se mentent à eux-même ou qui ne veulent pas réfléchir à leurs problèmes.

Combien de fois avez-vous dit que tout allais bien alors que ce n'était pas vrai ? Combien de fois avez-vous menti consciemment pour éviter de devoir parler de vos problèmes parce que vous ne vouliez pas les assumer. Si vous n'en parler pas, vos problèmes n'existe pas. Souvent, vous ne vous posez même pas de questions.

Misérable Pleutres. Comment peut-on être aussi aveugle, faible et lâche et espérer que ça aille mieux ? Se voiler la face, se cacher la vérité, mentir. On se dit que tout va bien pour éviter de devoir penser et se rendre compte que sa vie est une mascarade, une farce sans but et n'est pas aussi jolie et parfaite qu'on voudrait le laisser croire. Combien de gens ne veulent pas penser à ce qu'ils ont fait parce que ça casserai leur bel égo et l'image qu'ils ont d'eux ? Combien de fois vous persuadez-vous que ce n'est que temporaire, que ça ira mieux demain ?

Les cadavres dans les placards, les sombres secrets enfouis, les mensonges consentis, les problèmes multiples ainsi que la colère, frustration, honte et haine cachée vous dévorent et vous entraîne dans des relations autodestructrices ou de dépendance vis-à-vis de votre moyen de ne plus y penser. Vous êtes les pantins sans cervelles de vos peurs et de vos problèmes et fuyez pour ne pas avoir à les affronter. Plus vous fuyez, plus ils grandissent et plus vous prenez peur. Le cercle continue jusqu'au jour où vous ne pouvez plus fuir.

Deux solutions s'offrent, dès-lors, à vous :

- Vous devez finalement les affronter, ceux qui vous ont tellement terrifié, et vous faites appelle à des "spécialistes". Psychologue, médecins, gourou et autres "magiciens" pour votre pauvre âme meurtri par vos propres bêtises. Vous prendrez des médicaments pour vous donner l'impression que vous contrôlez vos peur, mais ce n'est que poudre aux yeux. Vous payerez des sommes astronomiques pour qu'un de vos congénères vous dise que vous allez mieux. Vous ne serez que les esclaves éternelles de vos mensonges et de vos drogues.

- Vous décidez que c'est trop dur de vivre. Vous agitez un pistolet sous votre nez, une boîte de médicaments, une corde ou un objet tranchant sur vos veines. Vous ne valez rien et vous avez décidez de mourir car c'est trop difficile. Et bien, mourrez et soyez maudit, lâche que vous êtes. Puissiez-vous revenir dans une autre vie et subir les mêmes tourments !

Pour une fois, je vais vous donner une direction qui peut vous aider.

OUVREZ LES YEUX !!!

Vous n'êtes pas parfait, vous avez des défauts et des tords ! Mais pour grandir et vous élevez au dessus du rang des cafards grouillants, il faut vous connaître et admettre vos mauvais côtés. A ce moment, vous aurez une chance de ne pas finir votre vie misérablement ! Et qui sait, vous pourrez peut-être aussi vous sentir fier de vous.

mercredi 4 mars 2009

Vous êtes tous irrespectueux !

Bonsoir lecteur,

Il y a tellement de chose sur lesquels je pourrai vomir des flots de mots malsains, tellement d'attitudes que je pourrai critiquer, tellement d'hypocrisies que je pourrai condamner, tellement de gestes sans fondements, tellement d'actes sans réflexion.

Ce soir, je vais m'épancher sur la total absence de respect qu'on les plus crétins d'entre nous quand ils ne sont pas surveiller ou cantonner.

Rien qu'un exemple : combien de personne ne savent plus conduire leur voiture sans les feux rouge ? C'est incroyable. Arrêtez-vous devant un carrefour où les feux sont en panne et où il n'y a pas de policier et regardez le nombre de conducteur qui ne savent pas rouler s'ils ne sont pas dans un carcan guider. Les klaxons sonnent, les voitures se croisent dans un ballet anarchique et dangereux et, trop souvent, les freins crissent, quelquefois trop tard pour évité le pire.

Pourquoi cette attitude alors que toute personne conduisant un engin motorisé doit avoir passé son permis ?

Dès que la laisse est lâchée, certains se disent qu'ils peuvent tous faire, tout se permettre et qu'il n'y aura pas de conséquence. Le respect des autres passe après l'assouvissement bestiale de la bêtise, de l'acte habituellement interdit ou sanctionné et de la joie d'avoir fait quelque chose de répréhensible.

Le pire dans ces genres de cas, c'est que l'auteur de l'acte est souvent satisfait ou content de lui, il va même parfois jusqu'à s'en venter. Mais dès qu'un incident survient dans sa tentative égoïste et qu'il va devoir payer son acte, il nie, cherche des excuses et pleurniche. Pitoyable chien-chien pris en train de voler un morceau de viande, les oreilles basses et la queue entre les jambes, mendiant clémence pour son tord.

Méditez là-dessus si le coeur vous en dit et si vous avez assez de courage pour regarder la triste vérité en face.

mardi 3 mars 2009

Je vous hais tous !

Voilà, le ton est donné.
Phrase reprise de la série télévisée "Californication", elle n'en reste pas moins vrai.

Je vous hais tous.

Vous n'êtes qu'une bande de mou, ramollis par une vie et une société imbécilisante et lobotomisatrice.

Vos vies, lecteurs, ne valent pas plus que la chaise sur laquelle vous êtes assis.

Mais de ce fait, je me hais encore plus que vous, car je n'ai pas de chaise.