jeudi 30 avril 2009

Histoire #1

Bonsoir lecteur,

Voici ce soir une histoire. C'est une histoire d'amour et ma façon de faire avec les gens. Et comme toutes les histoires...

Il était une fois, deux jeunes garçons. Ils étaient voisins et partageaient de nombreuses choses ensemble, notamment une passion pour les oiseaux. Un jour, une de leur connaissance revint d'un long voyage. Il leur avait apporté un souvenir. Deux oiseaux au plumage magnifique et dont le chant ravissait les oreilles. Les deux enfants en prirent chacun un et rentrèrent chez eux.

Le premier enfant mis l'oiseau dans une cage spéciale. Très grande, l'oiseau pouvait voler a sa guise. Il le nourrissait bien et veillait sur lui comme un père sur son enfant. Cependant, au fil du temps, l'oiseau perdit de sa superbe et son chant se fit moins ravissant. Intrigué par ce problème, il alla voir son ami et voisin pour lui demander si lui aussi avait ce genre de problème.

Arrivé chez son ami, il demanda à voir l'oiseau. Ils se dirigèrent donc dans le jardin et ils allèrent sous un grand arbre. Le deuxième garçon désigna du doigt un point sur l'arbre, un nid ou se trouvait l'oiseau. Stupéfait, le premier garçon demanda s'il n'avait pas peur que l'oiseau s'en aille. C'est alors qu'il reçu comme réponse un sourire et le deuxième garçon lui dit :
- Oui, peut-être, mais il sera heureux en liberté et tant qu'il est heureux, je le suis aussi.

Sur ces paroles, le premier garçon rentra chez lui, pris délicatement son oiseau et le porta dehors. L'oiseau s'envola et il ne le revit jamais.

Fin.

La moralité de cette histoire, c'est qu'il faut laisser la liberté au gens que vous aimez. Si vous les forcer à rester à vos côté, même dans une cage dorée, à la première occasion, ils fuiront et vous ne les reverrez peut-être jamais. Vous perdrez alors quelque chose d'irremplaçable.

Bonne nuit lecteur, puisses-tu méditer cette histoire.

mercredi 29 avril 2009

Le temps vous hait tous !

Bonsoir lecteur,

ça fait un moment que je n'ai plus rien écrit. Non pas que je n'ai pas envie de vous montrer à quel point vous êtes souvent minable, mais surtout parce que je n'avais pas le temps.

Stupidité ! Nous avons tous 24h dans une journée, comment expliquer que certaines personnes arrivent à faire ce qu'elles veulent alors que d'autre n'y arrivent jamais ?

La véritable raison, c'est que je n'ai pas pris le temps. Non, j'ai préférer faire autre chose, faire passer certaines choses avant d'autres. Vous aller me dire que c'est normal et vous aurez raison... mais alors, ne venez pas me dire que vous n'avez pas eu le temps. Assumez vos choix et dites au moins que vous n'avez pas pris le temps. Vous ferez au moins un pas en avant vers l'acceptation de vous-même.

Tout ceci pour arriver à la réelle utilité de votre temps. Plus je me déplace dans les villes et autres endroits, plus je me rend compte que bon nombre d'entre vous ne prend pas le temps de communiquer avec son voisin. Vous vous dites bonjour machinalement, sans réfléchir à la réelle signification de ce mot. Vous ne prenez pas la peine de regarder les gens et de leur sourire, vous êtes presser par vos petits soucis personnels ou alors, vous ne vous contentez que de votre entourage proche.

Avez-vous peur à ce point des étrangers pour ne pas prendre le temps de les regarder, de leur sourire, de leur parler ou de leur adresser un signe de salut amical ?
Si chacun prenait un peu de temps pour sourire aux gens, le monde n'irai pas plus mal et vous vous sentiriez beaucoup mieux.

Réfléchissez à l'utilisation de votre temps, car le nombre de minute perdue à vous plonger sur votre propre vie pour des prunes est colossale.

mardi 7 avril 2009

Les déménagements vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, constat surprenant sur le fait de déménager. Et oui, si je n'ai pas écrit pendant tout ce temps sur vos misérables manies, c'est que je déménageais.

Avez-vous remarqué le ridicule d'un déménagement ? D'abord, il y a la courses pour savoir ou déménager, choisir le petit coin idéal, trouver la perle rare et surtout abordable niveau prix. Ensuite, il y a la paperasse à remplir. Encore et toujours ces foutus papiers à aller chercher. Et à chaque fois, on paie.

Viens ensuite la course au carton. Sauf si vous avez fait des réserves de cartons depuis 1910, vous n'en aurez jamais assez ! Et ne parlons pas de l'emballage. Comment avons-nous pu emmagasiner autant de bordel. Car il s'agit bien de bordel. Des vieilleries cassées, des objets inutiles, des "choses" dont on ne sais même plus se servir... Et ne parlons pas de la vaisselle accumulée depuis trois générations par nos parents et leur parents avant eux. Des choses moches que l'on garde... pourquoi ? Parce que c'est sentimental ? "Ho, regarde, c'est dans cette assiette que ton arrière-grand-mère à manger à son repas de noce". Ridicule.

Ensuite, une fois que les cartons sont fait, il faut tout transporter. Meuble, carton, animaux, famille... souvent sur plusieurs kilomètres. Alors on charge les voitures, camions et trottinettes. Et une fois que tout est bien mis, telle un champion de Tetris, il y a toujours une pièce qui ne va pas et on doit tous refaire !

Mais le plus intéressent reste à venir. Arrivé dans le nouveau lieu de vie, on installe les meubles et on commence à vider. Et c'est là que le ridicule commence réellement. On emmagasine encore, même si on s'est bien rendu compte que ça ne servait à rien, on rempli sa cave, son grenier des choses que l'on ne veut pas ou que l'on ne peut pas mettre dans sa maison/appartement.

Mais le summum, c'est quand on se rend compte que l'on va devoir recommencer tout ça dans quelques mois, et le même cirque recommence, encore et encore.