samedi 13 novembre 2010

Retour ?

Bien,

Après de nombreux mois d'absence, voilà que j'ai de nouveau accès à mon blog.
ENFIN !!!!

A bientôt lecteur !

jeudi 11 mars 2010

Les mots se suivent

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un texte que tu ne comprendra peut-être pas, mais ce n'est pas grave.

Il est dans la vie des croisements qui se chevauchent comme les lits de rivières invisibles. Il est des chemins qui s'accompagnent mutuellement, le long d'un sentier qui nait à chaque pas.

Sur ces chemins, il existe des allées illuminées par des ballons de lumières qui flottent aux vents d'une gravité irréelle. D'autres sont obscurcies par les nuages gris de l'ennui.

Ces allées sont bordées de murs, de platanes ou de vide. Et quand bien même ils se croisent, se longent et s'entortillent, nous n'en suivons qu'un seul, ce chemin.

Au bout de ces croisements, au long de ces allées, au comble du chemin, il y a un mur, souvent. Froid et figé dans l'éternelle destin qui nous as guidé jusqu'à lui.

Et sur ce mur, nous n'y voyons que ce que nous pouvons y voir ; un obstacle, une fin, une fatalité. Et nous mourrons adossé à ce mur.

Pourtant, la poignée d'une porte invisible à nos yeux nous murmure que tout n'est pas perdu. Que nous devons ouvrir nos yeux à une autre dimension ; que l'oeil organe n'équivaut pas l'oeil sens.

Puis, si nous en faisons l'effort, notre main sens s'empare de la poignée et la tourne tandis que notre main organe reste ballante au bout de notre bras fatigué.

Et là, devant notre nous uni, sens et organe, nous pouvons avancer sur le chemin vie. Chemin qui se répètera inlassablement de rivières invisibles, d'allées illuminées et de murs sans portes vivantes.

jeudi 4 mars 2010

La communication nous hait tous !

Bonsoir lecteur,

Durant ma douche quotidienne, une constatation s'est imposé à moi. Au fils des siècles d'évolution humaine, l'être humain a fait d'énormes progrès dans de nombreux domaines. Mais il y en a un de primordial : la communication.

Du jour où nos ancêtres poussaient des cris pour se faire entendre aux langages évolués et complexes, il s'en est passé des étapes. L'écriture, les langues, l'apparition du langage informatique. Toutes ces découvertes n'ont qu'un but, communiquer de mieux en mieux, de plus en plus loin et de plus en plus certainement.

Pourquoi une telle évolution ? Mon idée est de dire que c'est parce que nous en avons besoin. L'être humain est un être qui a le besoin de s'exprimer, de communiquer avec ses semblables. Complexe comme jamais avant lui, l'esprit de l'être humain n'est pas fait pour garder en lui ses pensées, désirs, peines, joies, etc. Il doit les partager. Quand nous avons mal, nous crions. Quand nous en avons assez, nous soupirons. Chaque émotion à son expression auditive, chaque petit changement chez l'être humain, au niveau de son humeur, à son son.

L'audition, parlons en. Nous avons bâtis des civilisations en ayant comme gardiens des dieux. Mais actuellement, les dieux ne sont que des histoires et ne sont plus les garants d'une civilisation. Nous avons autre chose. La parole. Regardez comment un homme embrase des foules par son discourt soigneusement choisi. Notre système de défense, même s'il repose sur des articles de lois, n'en est pas moins influencé par les deux partis qui, soigneusement, impose leur point de vue avec leur mots et tournures de phrases. Sans nous en apercevoir, nous "vénérons" ces gens qui manipule la langue comme les anciens vénéraient les dieux de la guerre ou de la foudre. Nous les mettons au sommet de notre pyramide humaine tandis que les gens qui souffrent d'un problème de communication ou qui en possèdent d'autres, différents, sont mis de côté.

Il y a également le langage écrit. De nos jours, les SMS, e-mail et autres moyens de communication écrits foisonnent. C'est également depuis ces jours que, n'ayant pas l'intonation si capitale actuellement de la voix, il y a des malentendus. La personne qui reçoit "la lettre" peut mal interpréter le message contenu. En fonction de son humeur, un même message pourra la faire sauter de joie ou sombrer dans une colère noire. De plus, il est à déplorer que la jeune génération n'ai plus envie de savoir où mettre une virgule ou un point. Evolution de la communication ou régression ? L'avenir nous le dira.

Ceci dit, avec la parole et les lettres, nous avons trop souvent oublié les autres moyens de communication, pourtant tellement plus expressif car moins compliqué. La gestuelle, le regard, le touché, ce sens trop souvent mis au placard par des conventions sociales étranges. N'y a-t-il pas plus simple que de prendre quelqu'un dans ces bras pour lui signifier son soutiens ou son affection ? Ne jubilons nous pas quand un regard plein d'amour se pose sur nous ou que l'on voit des étoiles dans les yeux de quelqu'un ? Peut-être es-ce parce que ce genre de langage est exempt de toutes duperies ou bien plus difficile à corrompre que la société à décidé de le mettre de côté ? Et elle a si bien réussit que souvent, les décrypteurs que nous avions instinctivement sont rouillés et que le message est mal traduit.

Quoi qu'il en soit, je le redis, l'être humain est un être fait pour s'exprimer. N'est-il pas infiniment rassurant d'entendre le murmure d'une voie apaisante après un mauvais rêve ? N'est-il pas immensément soulageant de pouvoir parler à quelqu'un quand ça ne va pas, de se vider de nos peines. N'apprécions nous pas d'avoir quelqu'un à nos côté pour partager une bonne nouvelle ?

L'être humain DOIT s'exprimer pour aller mieux, il ne peut rien garder, sinon, ça le détruit.

lundi 22 février 2010

Film #4 : Lovely Bones

Bonsoir lecteurs,

Ce soir, une fois de plus, un film.

Lovely Bones, Peter Jackson, 2010

Film tiré d'un livre que je n'ai pas lu, donc, je ne ferai aucune comparaison entre l'écran et le papier, ni même aucune mention. Cependant, pour ceux qui ont lu le livre, je tiens à dire que notre ami réalisateur Peter Jackson, a tendance, lorsqu'il fait un film tiré d'un livre, à s'approprier l'histoire et à en faire une version un peu personnelle. Pour ceux qui ont lu cette histoire, j'attends vos commentaires.

Une fillette de 14 ans disparaît. Drame. Victime d'un violeur-tueur en série, cette petite que sa famille aimait va se retrouvé dans un paradis qui n'en est pas un tandis que les vivants vont devoir vivre avec la perte de cette enfant. Je n'en dirai pas plus pour l'histoire car si vous avez envie de la voir, y'a les cinémas pour ça (et bientôt les DVD et les gens qui téléchargent).

D'emblée je le dis, j'ai aimé ce film. Pourquoi ? Parce qu'il m'a transporté. J'aime beaucoup l'onirisme, les symboles et le mysticisme et ce film en parle beaucoup, mais en montre énormément également. Visuellement, c'est un beau film. Les images sont très belles et chaques petits détails à un sens. Les images de synthèses ont des couleurs très vives ou très obscures qui me font penser à un rêve ou un cauchemar d'enfant et qui me rappellent également mes propres songes. J'ai également aimé la musique qui apporte le petit plus toujours indispensable. Vivement la BO.

Au niveau des acteurs, ils sont bons. Je doute qu'ils gagnent un oscar, mais au vue des quelques navets qui sont sorti ces derniers temps, je ne peux que féliciter les producteurs de les avoir choisis. Malheureusement, il y a un bémol, le méchant est un stéréotype de pédophile, grosses lunettes, cheveux gras, moustache... bref, rien de bien nouveau.

L'histoire de fond. Oui, car derrière ce film, il y a une histoire de fond. Comment surmonter ce que beaucoup considèrent comme le pire des drames que peut subir une famille : la perte d'un enfant. Tout le long du film, on voit évoluer les parents dans leur détresse, ainsi que la sœur de la victime, mais dans une mesure moindre. La grand-mère et le frère sont malheureusement absent de cette évolution. Il faut dire que de résumé en 2h30 ce qui prend très certainement une vie à assimiler, ce n'est pas facile. Les grandes lignes y sont : la volonté d'oublié ou de s'investir à fond dans les raisons de la disparition, le rejet des siens, le besoin de faire un break, la colère, la haine, la tristesse. On ne va jamais très profondément, mais j'ai déjà vu pire.

Du côté de la morte, tout est une question de croyance. Paradis ou pas, "fantôme" ou pas, interaction entre le vivant et le mort ou pas. On ne peut pas parler d'évolution dans ce cas.

Le mauvais point. La fin. Pourquoi est-il nécessaire de faire en sorte que le méchant perde la vie. Bien entendu, c'est un salop. Bien entendu, il mérite une punition. Mais était-ce bien nécessaire qu'il meurt de cette façon hollywoodienne et passablement minable ? Cette nécessité de voir le méchant payer ses crimes par une mort violente commence à me lasser.

En résumé, j'ai aimé ce film pour sa beauté visuelle, pour le fait qu'il m'a transporté ailleurs, dans un monde onirique et pour le début de réflexion que je peux me faire sur la question : Et moi, que ferais-je si je perdais un enfant ou plus globalement quelqu'un de très très proche ?

Note : 7/10

mercredi 3 février 2010

Film #3 : Océan

Bonsoir lecteur,

Ce soir, une nouvelle fois, une critique de film.

Océan, Jacques Cluzaud, Jacques Perrin, 2010

Océan n'est pas un film, c'est un documentaire animalier sous-marin (avec un nom pareil, vous pouvez au moins faire un effort).

Que dire sur un documentaire ? Les acteurs sont tous très naturels ; les plus mauvais étant les humains, pour changer. Les dialogues sont peu présent, bref... que du bonheur.

Plus sérieusement ce documentaire alliant agréablement excellentes musiques et images superbes m'a réellement transporté dans le monde des profondeurs. Il ne nous explique pas comment se reproduisent les serpents de mer ou quel est le mode de fonctionnement des coraux. Il nous montre simplement la beauté d'un monde méconnu et extrêmement vaste.

L'écologie étant un grand sujet d'actualité, il se veut aussi un peu moralisateur et informatif avec des images satellites assez écœurantes de pollution ou des images de cruauté envers les animaux (il n'y a cependant pas eu d'animaux blessé ou maltraité durant le tournage, ce sont des reconstitutions... c'est ce qu'ils disent à la fin en tout cas).

En résumé, j'ai passé un très très bon moment immergé et bercé par les vagues. Le documentaire animalier a, à mon avis, de bons espoirs pour le cinéma et apporte un peu de fraicheur.

Un petit regret toutefois, certains animaux sont, a mon avis, totalement inconnu du grand public, il est peut être frustrant de ne pas savoir à quoi l'on a affaire. Mais, capitalisme oblige, je n'ai pas été surpris de découvrir en librairie le livre avec les images du film et également des légendes sous les photos avec le nom des animaux.

Note : 7/10

Film #2 : Sherlock Holmes

Bonsoir lecteur,

Ce soir, critique de film.

Sherlock Holmes, Guy Ritchie (Snatch, entre autre, je suppose que vous êtes tous capable de faire une recherche google pour avoir plus d'info), 2009

Je ne vais pas faire ici de comparaison avec les livres ou séries. Je ne suis pas un expert dans la "Sherlock attitude".

Film américain, ça se sent, on laisse tomber la classe britanique. Gros effets spéciaux, grosses bastons, tout est gros dans ce film. Les actions sont, pour la plupart, prévisibles à l'avance, les personnages ne sont pas très approfondis et c'est bien dommage. L'histoire est une histoire classique, le méchant est un méchant classique, les gentils sont des gentils classique également, même si c'est le grand détective anglais, ça sent le réchauffé. Il veut conquérir le monde, on va l'en empêcher.

Il y a également un problème de vitesse. Tantôt trop rapide, tantôt trop lent, je dirais même ennuyeux. On aurait aimé plus d'homogénéité. De l'humour à l'américaine, une histoire à l'eau de rose entre Watson et Mary, avec un Sherlock jaloux en bord de trame principale. Sherlock, qui d'ailleurs à également une histoire d'amour avec une faussaire. Bref... le classique du cinéma américain.

Quelques points positifs tout de même. D'abord, et je n'ai pas honte de le dire, j'ai apprécié le film dans son ensemble, mais il faut mettre le cerveau sur off et le prendre comme un divertissement hollywoodien et non comme une oeuvre, une dédicace ou qqch dans la continuité de ce qui a été fait. En gros, je le range dans la catégorie "Transformers" ou "GI Joe". On regarde, on fait des commentaires débiles et on tue le temps en se disant qu'on aurait pu faire qqch de mieux si on avait vraiment voulu.

Quelques scènes sympa toutefois. Les deux passages où Holmes décortique ses "phases de combat" sont assez intéressentes et on peut y trouver une dose de raisonnement. Le duo Robert Downey Jr. et Jude Law qui n'est pas mauvais mais pas assez exploité, malheureusement. Egalement, j'aime beaucoup les mimiques et les expressions faciales de Robert Downey Jr., donc, je lui met un bon point pour ça, mais c'est très subjectif.

Voilà, en résumé, allez-y si vous voulez voir une film d'action avec un très très très léger soupçon de réflexion. N'y allez pas en pensant au passé du détective, vous serez certainement déçu. ET SURTOUT ETEIGNEZ VOTRE CERVEAU !

Note : 4/10

mercredi 20 janvier 2010

Histoire #5

Bonsoir lecteur,

Ce soir, une histoire.

Il était une fois, un homme riche. Il était assis à une terrasse en bord de mer, c'était le matin vers 9h. Il contemplait ses bateaux de pêche.

C'est alors qu'il remarqua un pêcheur qui revenait du large dans sa petite barque. Il avait dans ses filets cinq, peut-être six poissons qu'il vendait au premier arrivé. Une fois ses ventes finient, il passa devant l'homme riche au moment où le serveur lui apportait un café.

"Hey, mon ami" fit l'homme riche. Le pêcheur se retourna. "Viens un peu par ici, j'ai à te parler". Le pêcheur s'avança vers l'homme. "Pourquoi rentres-tu si tôt de la pêche ?" fit l'homme riche. "Et bien, pour passer du temps avec ma famille, chez moi." dit le pêcheur. "C'est très bien, mais tu sais que si tu rentrais un peu plus tard, tu pourrai pêcher plus de poisson et tu te ferai plus d'argent." dis l'homme riche. Le pêcheur réfléchi et dit "Mais, pour quoi faire ?". "Et bien, comme ça, après quelques temps, tu pourra t'acheter un plus gros filet" dit l'homme riche. "Ha" dit le pêcheur.

Le pêcheur réfléchi un instant et dit "Mais, pour quoi faire ?". L'homme riche lui répondit "Et bien, avec un plus gros filet tu pourra pêcher encore plus de poisson, et tu aura encore plus d'argent en les vendant.". "Ha oui ?" dit le pêcheur. "Oui" dit l'homme riche et il rajouta "Avec cet argent, tu pourra t'acheter un treuille pour ton filet". "Ha" dit le pêcheur.

"Mais, pour quoi faire ?". "Et bien, avec un treuille, tu pourra remonter encore plus de poisson en te fatiguant moins. Et en les vendant, tu aura encore plus d'argent" dis l'homme riche. "Ha" dit le pêcheur.

"Mais, pour quoi faire ?". Restant toujours très calme, l'homme riche lui dit "Et bien, avec cet argent, tu pourra t'acheter un plus gros bateau. Et avec ce bateau, tu pourra aller plus loin et pêcher plus de poisson pour les revendre et te faire encore plus d'argent.". "Ha" dit le pêcheur.

"Mais, pour quoi faire ?". "Et bien, une fois que tu aura beaucoup d'argent, tu pourra acheter plus de filets et pêcher encore plus de poisson pour pouvoir les revendre et te faire encore plus d'argent et tu pourra alors acheter un deuxième bateau." dis l'homme riche. "Ha" dis le pêcheur.

"Mais, pour quoi faire ? Je ne peux conduire qu'un bateau à la fois.". "Et bien, au moment où tu va acheter un deuxième bateau, tu va pouvoir engager du monde pour pêcher pour toi et au bout d'un moment, tu pourra engager plein de gens pour pêcher à ta place". "Ha" dis le pêcheur.

Le pêcheur réfléchit et dit "Mais, pour quoi faire ?". L'homme riche lui sourit et lui dit "Et bien, si des gens pêchent pour toi, tu pourra rester chez toi avec ta famille". Ce fut au tour du pêcheur de lui sourire et de dire "Mais, c'est ce que je fais déjà.".

Le café de l'homme riche était froid.

---FIN---

Je laisse à vos bons soins le fait de trouver une morale qui vous parle.

mardi 12 janvier 2010

Histoire #4

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un texte, une histoire. Elle n'est pas de moi mais j'ai reçu la permission de faire un copier-coller.

Comme le vieil homme marchait le long de la plage, à l'aube, j'ai remarqué qu'il se baissait de temps à autre pour ramasser les nombreuses étoiles de mer qui avaient été jetées sur la plage, la nuit dernière.
Il prenait chacune d'elle précieusement et la relançait délicatement dans les vagues.

Je l'ai suivi, quelques pas derrières, marchant lentement, sans être vu. Il continuait patiemment son travail, sans paraître découragé par la longueur de la plage. Le soleil venait de poindre à l'horizon. Je me suis approché de l'homme âgé, comme il se penchait pour ramasser encore une autre étoile de mer, parmis toutes celles éparpillées sur le sable.

- Excusez-moi, Monsieur, dis-je
L'homme se releva et se tourna lentement, tenant l'étoile tendrement dans ses mains.
- Qu'y a t'il ? demanda-t-il
- Je n'ai pas pu faire autrement que de remarquer ce que vous faites ici, ce matin. Je vous regarde depuis un moment. je pense que ce que vous faites ne sert à rien. C'est idiot : la plage s'étend sur des kilomètres et il y a des milliers d'étoiles de mer. Comment, ce que vous faites, pourrait changer quelque chose ?

Le vieil homme regarda l'étoile dans ses mains, puis sourit doucement, et il me la tendit.
- Ca change quelque chose pour celle-là, n'est-ce pas ? dit-il, ça change quelque chose pour celle-là là !

Je pris l'étoile dans sa main tendue et la lança dans la sécurité de la mer. Nous continuâmes ainsi ensemble. Le soleil brillait de plus en plus, comme nous marchions le long de la plage...

Depuis ce jour, j'ai bani de mon vocabulaire les expressions "ça ne sert à rien" et "ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan". Chaque fois que j'ai l'occasion d'agir, même de façon ridicule, même de façon si minime que beaucoup me regardent faire en ricanant, que ce soit juste un sourire dans un enterrement ou un statut partagé sur facebook, je le fais... Bien évidemment, mon geste ne changera pas la face du monde, mais si une seule personne, par ce geste, peut se sentir un peu plus comprise, accueillie, entourée, si une seule personne retrouve le sourire ne serait-ce qu'un instant... alors pour celle-là, ça changera quelque chose et mon geste n'aura pas été inutile. Et quand bien même ce n'est pas le cas, ce n'est pas grave : j'aurai au moins essayé...

---FIN---

La morale que j'y vois, c'est que chaque acte, même ridiculement insignifiant pour certain, ont une portée, un effet et une conséquence. Aussi bien les bons que les mauvais.

lundi 11 janvier 2010

Voeux 2010

Bonsoir lecteur,

Ce soir, comme j'ai été éduqué et pas uniquement nourri, il est de mon devoir de vous envoyer mes vœux pour l'année 2010.

Je ne vais pas vous souhaiter une année merveilleuse. Je ne vais pas vous souhaiter la santé, la fortune et que tous vos vœux se réalisent. Non, car ce serai laisser la porte ouverte à beaucoup de chose futile et qui ne vous ferai pas avancer sur votre chemin.

Je ne vais pas vous souhaiter non plus de perdre votre argent, de finir gravement malade, je ne suis pas non plus complètement méchant.

Je vous souhaite de trouver le courage, la force et la volonté de vous relever quand vous chuterez.
Je vous souhaite de prendre les chemins qui vous feront avancer et évoluer, même si, pour cela, vous devez vous perdre avant tout.
Je vous souhaite de voir le positif dans chaque situation de la vie, même la plus difficile.
Je vous souhaite d'ouvrir les yeux sur ce qui est important pour vous, même si pour l'instant vos yeux regardent ailleurs.
Je souhaite que ceux qui nous ont quitté trouve la paix ou, plus personnellement, qu'ils trouvent le chemin de la réincarnation pour revenir et continuer leur chemin.

Une malédiction chinoise dit : "Puisse votre vie être intéressante".

Soyez tous maudit !