jeudi 26 mars 2009

Les premières fois vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Après la violence sentimentale, un peu de romantisme et de nostalgie. C'est en parlant avec une connaissance que je me suis souvenu des premières fois. Pas uniquement sexuelles. Non, il y a une première fois pour tout. La première respiration, le premier bobo, la première punition, la première note en classe... tous ces moments uniques et trop souvent oubliés.

Mais ceux qu'on garde en mémoire, c'est souvent les moments à deux. Le premier baiser de votre vie, vous vous en souvenez ? D'abord le regard, puis l'approche souvent timide de deux visages, le coeur qui bat fort, la respiration qui s'accélère... un moment d'éternité. On réfléchi ; de quel côté penché la tête ? Es-ce que j'ai une bonne haleine ? Es-ce que je vais réussir à être à la hauteur ? Puis viens le contact des lèvres. Big bang, explosion, émotion, raz de marée, le cerveau déconnecte, le coeur s'emballe, les mains sont humides... moment d'éternité également. C'est beau. On est sur un petit nuage, on flotte. Le monde est devenu soudain plus éclairé, plus beau.

Puis vient LA Première Fois. Nu l'un contre l'autre, deux corps. La peur, on ne sait pas comment faire, on ne sait pas comment ça va se passer. Souvent une première fois douloureuse sentimentalement et parfois physiquement. On ne satisfait pas totalement ses attentes. Ou au contraire, c'est un moment fantastique. L'union de deux être par la chair. A chacun son expérience.

Viens aussi la première rupture. La douleur, la peine, la solitude, la peur. On doute ; retrouverais-je quelqu'un comme lui/elle ? M'aimera-t-on encore ? Ais-je fait quelque chose de mal ? Comment survivre sans toi ? Viens souvent au même moments les premiers oublis. Le cerveau efface les moments trop difficile pour le coeur.

Viens après un nouvelle amour. Et bien que n'étant pas la première fois, c'est un renouveau car c'est la première fois avec lui/elle. On recommence à avoir peur, les mains moites, etc... et c'est à nouveau beau, on se retrouve comme le premier jour.

Viens aussi le premier mariage, puis le premier enfant. A chaque fois, on tremble devant cet inconnu qui nous fait vivre des émotions nouvelles et terribles. Ça chamboule notre vie. A chaque première fois, on se découvre une nouvelle facette, une nouvelle peur et une nouvelle façon de la gérer.

Les premières fois sont révélatrices de notre être profond. Elles nous font évoluer.

Puis, finalement, vient l'unique première fois. L'expérience qu'on ne vit qu'une fois... la mort. Cette unique expérience nous terrorise souvent. L'Ultime Première Fois. La seul dont on ne sait rien au final.

Lecteur, si tu as la capacité, essai de retenir tes premières fois car ce sont des moments merveilleux.

mercredi 25 mars 2009

Je la hait !!!

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mon vomi se répand sur une personne en particulier, mais la décence m'interdit de nommé cette personne ici. Cependant, sachez que mon ressentir vis-à-vis de cette personne est profond de même que pour les personnes dans son genre.

Cette personne m'a gâchée la soirée. Soyons franc. Elle m'a carrément pourri une journée que j''aurai pu qualifié de "bonne".

Ce genre de personne use de mensonges pour s'attirer les attentions des autres. Souvent, elles se plaignent de douleur ou de malaise pour qu'on les regardes. Et si ces personnes trouvent une "bonne poire" pour leur rendre ce genre de service, elles en abusent.

J'ai été victime d'une de ces personnes ce soir. Juste une blague paraît-il. MON CUL OUI !!!!
Une mauvaise blague d'abord et ensuite, quand j'ai vu cette personne elle s'est permis de m'insulter et de m'envoyer bouler !

Je ne me ferai plus avoir par cette personne. Il ne faut pas prendre des gens pour des cons trop longtemps non plus.

Si tu lis ces lignes jeune fille, ce que je doute, vu ton niveau intellectuelle, sache que tu peux aller pourrir en enfer avec tes histoires ! Je te méprise car tu ne mérite que ça, cloporte !

mercredi 18 mars 2009

La société vous hait tous #1

Bonsoir lecteur,

Ce soir, pas de vomi sur vos attitudes stupides et irréfléchies. Je suis sous le choc. Heureusement qu'il y a des gens qui me font réfléchir sur cette terre. Ils sont rares, mais ils sont là ! Et je ne saurai leur dire à quel point ils sont important.

La société vous hais. Elle vous détruit de maintes et maintes façons. Elle tend ses pièges dans les recoins sombres de vos vies, sur des passages obligés de votre existence.

Elle vous façonne. Vous devez d'abord avoir un travail pour être accepter. Combien de gens font un travail qu'il n'aime pas. Il faut bien payé le loyer direz-vous... et c'est là que vous vous rendez compte que la société vous a moulé à son image.

Après le travail, il faut les relations sociales, être en couple et fonder une famille. Ça fait bien. Et c'est tellement encrer dans la société, qu'on n'y fait plus attention. Il vous suffit de regarder les publicités : "encore seul ?" ou "toujours célibataire ?" et après, le slogan "trouver l'amour sur internet !" ou "100% de succès !". Combien de personne pense que les gens célibataires, après un certain âge, ont un problème ou sont gay ?

Une fois que vous avez le travail et la famille, il vous faut le statut social. Celui qui vous fera devenir quelqu'un et plus simplement le petit travailleur. Certaines personnes sont d'ailleurs tellement obnubilées par ce statut social qu'il laisse tomber tout le reste. Rien n'importe plus que leur accessions aux hautes sphères du pouvoir.

Mais le pire dans tout ça, c'est que la société modèle vos rêves ! Elle vous assaille de soucis, de stress et de difficultés. Petit à petit, vos rêves ne deviennent que des idées ou des "j'aimerai bien". Et puis, un beau jour, vous avez des rêves, mais ce ne sont plus les votre. Ce sont ceux d'une idée de la société. J'aimerai avoir une augmentation, j'aimerai avoir un/e copain/ine, j'aimerai me marier et fonder une famille...

Il y a des gens qui rêvent de ça dès leur plus jeune âge. Ils sont des purs produits de la sociétés, mais ils arrivent à garder leurs rêves. Tandis que les autres, fort peu arrive à garder la tête hors de l'eau toute leur vie.

Lecteur, n'oublie jamais les rêves de ton coeur. JAMAIS !

lundi 16 mars 2009

Fuck !

...
...
...
Fuck.
...
...
...

jeudi 12 mars 2009

Vous vous faites avoir, Tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mes crachats éclabousseront les gens qui profitent de la misère pour vous demander un don en argent ou une faveur.

Chacun sais que le monde ne va pas bien. Des enfants sont employés comme travailleurs sous-exploités ou servi en pâture à des pédophiles, des gens meurent de faim. Combien de personnes sur cette terre se ruine la vie pour une bouchée de pain ? Et je ne parle pas des guerres qui font des victimes innocentes. Non, le monde ne va pas bien.

Mais parmi tous les cafards rampants, il y en a qui usent de ça pour vous demander de l'argent.

Vous avez certainement déjà été arrêté dans la rue par une personne qui vous tend un papier, une photo ou même qui se trouve avec un enfant sale et peut-être même mutilé et qui vous demande un sous pour manger. Vous avez peut-être déjà reçu, surtout en période de fête comme Noël, un e-mail avec une vidéo ou des photos de gens dans la misère et vous disant quelque chose comme "Vous êtes triste ? Pensez à eux, faites un don !".

La vermine qui utilise ces techniques ne sont souvent que des menteurs et des arnaqueurs. Ils vous font comprendre qu'il y a plus malheureux que vous et que vous devez l'aider, lui, pas les personnes sur les photos ou même l'enfant qui l'accompagne. Leur seul motivation est leur propre bien-être.

Avez-vous déjà essayer de leur poser des questions sur ces gens qu'il montre ou sur leur fils qui se trouve à l'hôpital ? Dès que vous leur poser des questions, ils prétendent qu'ils ne comprennent pas la langue et si vous insistez, ils s'en vont en vous faisant comprendre que vous êtes un être sans coeur. Ou vous avez peut-être déjà essayer de les "payer" en nature. Un sandwich ou une bouteille d'eau. Souvent, ils vous regardent avec cet air de dépit et de mépris et refuse votre don.

Ces êtres, lecteur, sont un ramassis d'égoïste, de manipulateur, de menteurs, d'hypocrite et parfois même de tortionnaire.

La misère des gens est un fait bien réelle et je le déplore, mais l'utiliser comme ça, c'est un crime contre l'humanité !
Et le pire dans cette histoire, c'est qu'il y a des gens assez naïfs qui y croient et qui se sentent fier d'avoir donné une pièce ou fait un don à ces gens. Ça aussi, c'est un crime.

mercredi 11 mars 2009

Vos parents vous haïssent tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un titre choquant. Mais avant de brandir vos étendards de guerre, vos fourches et vos torches enflammées, prenez la peine de lire ce qui suit. Si après la lecture de l'article, vous avez encore envie de me lyncher, allez-y.

Laissez-moi vous raconter une histoire. C'est un jeune homme qui, un beau matin, pose une innocente question et soudain, sa vie explose. Tous son monde se transforme. Les certitudes qu'il avait vole en éclat, la peur l'envahis mais en même temps, le sentiment de sérénité et de paix se glissent en lui. Le choix était bon.

Le temps passe et le jeune homme réfléchi beaucoup. Il pense à ses actes passés, présents et futures. Soudain, il se rend compte d'une chose, il ne s'aime pas, il n'est pas et n'a jamais été fier de lui. Même si ses amis lui dise qu'il a accompli des choses dont il pourrait être fier, il ne l'est pas, il en est incapable.

Cette histoire, c'est la mienne.

Je suis incapable d'être fier de moi. Alors, j'ai chercher les causes de ce malêtre. J'ai creusé très profondément et j'ai fini par trouver : mes parents ne m'ont pas appris à être fier de moi, de mes actes.

A chaque fois que je rapportais un bulletin de note, il y avait des branches qui n'allait pas. Il fallait que j'approfondisse telle ou telle matière parce que je n'étais pas bon. Je faisais des bêtises, j'étais grondé. Mais jamais félicité.
Après avoir bien réfléchi, ça ne doit pas être vrai, je devais avoir reçu des félicitations, mais je ne les ai pas gardée au fond de moi, j'ai gardé le mauvais, car pour un enfant, quand ses parents ne sont pas content ou qu'ils lui font une remarque, ça le perturbe plus que des félicitations.

Les parents sont les premières personnes pour qui l'enfant veut exister. Il veut leur faire plaisir, qu'ils soient fier de lui, qu'ils le félicitent. Si parfois il échoue, il prend peur. Que vont dire mes parents ? Mais pire encore, dès qu'un enfant est fier de lui, qu'il va, la tête haute, montrer à ses parents une bonne note, une bonne action et que ses parents l'ignore ou le blâme parce que la note n'est pas assez haute à leur goût, l'enfant perd confiance. Blessé, il se demande si la prochaine fois, ses parents seront fier de lui ou s'il devra encore souffrir des remontrances.

Cet acte, parents, est un acte terroriste vis-à-vis de votre enfant. VOUS êtes les personnes les plus importante dans sa vie. A travers VOUS, il va se forger une identité, des défauts, des qualités. VOS paroles sont la vérité. Vous ne vous rendez pas assez compte du pouvoir que vous avez sur vos enfants.

Les parents sont cependant des humains comme les autres. On ne suit pas des cours pour être parents, on le devient sur le tas. Certains sont bon, d'autre moins et certains misérables humains sont des parents pitoyables, lâches et idiots. Mes parents m'aiment et globalement, ce sont de bon parent, mais ils ont commis des erreurs. Ce n'est pas grave, personne n'est parfait, mais maintenant, je vais devoir réapprendre à être fier de moi. Un travail de fond qui me prendra peut-être des années voir qui ne sera jamais atteint.

Ce que je voulais dire a travers cet article, c'est :

Parents, prenez conscience de votre importance pour votre enfant. En une seul phrase, vous pouvez gâcher sa vie. Faites attention.

lundi 9 mars 2009

Coup de Gueule #1

Bonsoir lecteur,

Ce soir, un coup de gueule.

Je ne veux citer personne par respect pour les familles qui ont été victime de telles personnes.

Mais parmi vos congénères, lecteur, il y a des êtes qui ne respectent rien. Ils ne veulent qu'assouvir leurs pulsions meurtrière, destructrice, sexuel et égoïste.
Ces êtres doivent être arrêtés et enfermés. Je vous dirai bien qu'il faut les laisser croupir dans une fosse de fange, mais ça serai céder à la haine.
Non, au contraire, la seul chose que ces personnes méritent, c'est de la pitié. Pitié pour leur condition d'esclave. Ces personnes doivent être soignées ou au moins, traitées pour qu'elles ne puissent plus faire de mal.

Je ne vous parle pas d'exécution, je suis contre la peine de mort !

Au lieu de mettre de l'argent dans des armes, les états devraient mettre à profit ces sommes pour ouvrir des infrastructures adéquates. Seulement, ça ne rapporte pas assez !!!

Gouvernement aveugle, sachez que par votre inaction, vous êtes autant des criminels que les personnes qui commettent ces actes !

dimanche 8 mars 2009

Merci !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, pas de venin, pas de vomi et pas de rancœur. Ce n'est pas que j'ai fini de cracher sur les attitudes des gens, mais parfois, il faut savoir lever le pied pour mieux redémarrer après.

J'avais envie d'écrire sur le bonheur.

Etre heureux, qu'es-ce que c'est selon vous ?

J'en vois déjà qui se disent : avoir une famille, avoir des enfants, une femme, un chien. Ou alors de l'argent, être en bonne santé, etc. Toutes ces choses ridicules que tout le monde vous sort bien trop souvent pour être réellement vrai.

Certe, famille, argent et santé font partie du bonheur. Mais es-ce vraiment votre bonheur ? Es-ce que c'est la chose qui rempli votre âme de joie ? Es-ce que c'est la chose qui, si vous ne l'aviez plus, vous ne pourriez plus vivre dans la joie ? Voilà la réelle question a mon sens.

Lecteur, si tu réponds à cette question, tu as de forte chance d'aller de l'avant, de devenir meilleur, plus à l'écoute des autres et peut-être même... quelqu'un de bien.

Et une fois n'est pas coutume, je vais te confier mon bonheur. ça m'a pris beaucoup de temps pour trouver ce qui me rendais réellement heureux. De passer par dessus les réponses toute faites et de creuser.

J'aime les relations avec les gens, j'aime les regards dans les yeux, les sourires, la complicité. J'aime voir dans tes yeux que je ne suis pas n'importe qui. J'aime les silences rempli de sentiments et d'émotion. J'aime serrer les gens dans mes bras. J'aime leur exprimer mon affection et ma tendresse. J'aime être avec les gens que j'apprécie. J'aime rencontrer des nouvelles têtes et partager avec elles des nouvelles expériences. J'aime rire avec vous.

Et même si je vous critique parce que vous faites des trucs souvent complètement stupide :

J'aime vivre avec vous et partager des moments de vie !

Merci à mon âme-soeur pour m'avoir permis d'ouvrir les yeux. Les cieux, le destin ou tout autre forme de puissance nous a mis sur la route l'un de l'autre et grâce à elle, je suis devenu meilleur. C'est le coeur rempli d'Amour, de Tendresse, d'Affection que je la laisse maintenant s'envolée car on ne capture pas un rire, on le partage.

Merci

samedi 7 mars 2009

Vous vous racontez vous-même !

Bonsoir lecteur,

Ce soir mes propos viseront les gens qui savent tout sur tout. Ces être d'une lassitude incroyable, horripilants et simplement envahissants.

Ils ont déjà tout vu, tout vécu, tout entendu. Leur vie ne sert qu'à dispenser leur immense savoir, leurs connaissances infinies et surtout, vous montrer que vous ne savez rien. Leur savoir est telle qu'ils sont persuadés de vivre la vie parfaite et vous "invite" à faire de même et suivre leur exemple.

Vous pouvez parler de n'importe quel sujet, ils auront toujours une anecdote à vous raconter. Dans leurs histoires, ils seront toujours le centre d'intérêt, l'être actif telle le héros d'un film d'action. Bravant dangers, brandissant mots ou armes et faisant preuve de culot, ils vaincront l'adversité et c'est grâce à eux que tout se fini bien. Ou alors, ils vous raconteront comment tel ou tel édifice est beau ou moche, rajoutant couche après couche leur monologue.

Et s'il n'y avait que cela. Non. En plus de l'ouvrir toute les cinq minutes pour dire des platitudes insignifiantes, ils ne supportent pas d'avoir tord ou de ne pas pouvoir parler. Prenez un sujet qu'ils maîtrisent moins bien (car, ils maîtrisent tous les sujets) et piégez les. Premièrement, ils n'ont jamais tord et si par hasard vous leur prouvez leurs tords, c'est vous le fautif car vous n'expliquez pas bien ou toutes autres excuses. Encore une fois, s'ils ne peuvent pas parler, ils vont chercher à aller sur un sujet pour pouvoir déblatérer.

Ces êtres insupportable ne vivent que dans le souvenir de leur vie et il ne font que broder autour de nouvelles histoires, de nouvelles versions et ne sont pas des gens intéressent, mais des gens lassant, plat et dirigiste. Il ne vivent que pour l'admiration que leur porte les plus influençable de leur congénère.

jeudi 5 mars 2009

Vous vous malmenez tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, mon venin va viser les gens qui se complaisent dans leurs malheurs.

Tous le monde subit des moments difficiles dans la vie. La mort d'un être cher, la rupture d'un couple, le départ de proche à qui l'ont tiens.
Il est normal d'avoir des moments de tristesse, de doute, d'incertitude et de faiblesse.

Seulement, certaines larves de l'espèce humaine se vautrent dans leurs problèmes, telle des sangliers dans la boue, que ça en devient écœurant. Ils s'en badigeonnent tellement qu'on les vois arrivé de loin. Le regard bas, les yeux cerné, la démarche lente et pesante, chaque geste transpire la douleur contenue en eux. A chaque fois que vous leur demander si ça va, ils vous disent qu'il faut bien vivre, la vie continue ou tout simplement "non" et ça dure depuis longtemps.

Ces êtres pitoyables ont une vie encore plus ridicule que la votre. Ils sont tellement insignifiant qu'ils doivent se parer de leur plus beau problème pour se faire remarquer. Portant fièrement, dans une mascarade complète, le deuil de leur couple tant aimé, mais fini depuis plus de 10 ans ou la perte de leur "Seul Réel Amour". Ces êtres se repaissent de la peine, pitié et attention qu'on leur accorde.

Si par hasard, vous ne leur prêtez pas assez attention, ils vont vers d'autres victimes ou alors ils en rajoute. Comme on fait briller un bijou, ils font miroiter plus de problème. Un soudain problème de santé, une douleur, une crise, un évanouissement, un proche qui est dans les ennuis et qu'on ne sait pas aider. Ils iront même jusqu'à inventer des problèmes.

Ces êtes misérables ne mérite rien. Juste une longue agonie dans leur propre fange.

Vous vous mentez tous !

Bonsoir lecteur,

Ce soir, ma gerbe de dégoût se porte sur les gens qui se mentent à eux-même ou qui ne veulent pas réfléchir à leurs problèmes.

Combien de fois avez-vous dit que tout allais bien alors que ce n'était pas vrai ? Combien de fois avez-vous menti consciemment pour éviter de devoir parler de vos problèmes parce que vous ne vouliez pas les assumer. Si vous n'en parler pas, vos problèmes n'existe pas. Souvent, vous ne vous posez même pas de questions.

Misérable Pleutres. Comment peut-on être aussi aveugle, faible et lâche et espérer que ça aille mieux ? Se voiler la face, se cacher la vérité, mentir. On se dit que tout va bien pour éviter de devoir penser et se rendre compte que sa vie est une mascarade, une farce sans but et n'est pas aussi jolie et parfaite qu'on voudrait le laisser croire. Combien de gens ne veulent pas penser à ce qu'ils ont fait parce que ça casserai leur bel égo et l'image qu'ils ont d'eux ? Combien de fois vous persuadez-vous que ce n'est que temporaire, que ça ira mieux demain ?

Les cadavres dans les placards, les sombres secrets enfouis, les mensonges consentis, les problèmes multiples ainsi que la colère, frustration, honte et haine cachée vous dévorent et vous entraîne dans des relations autodestructrices ou de dépendance vis-à-vis de votre moyen de ne plus y penser. Vous êtes les pantins sans cervelles de vos peurs et de vos problèmes et fuyez pour ne pas avoir à les affronter. Plus vous fuyez, plus ils grandissent et plus vous prenez peur. Le cercle continue jusqu'au jour où vous ne pouvez plus fuir.

Deux solutions s'offrent, dès-lors, à vous :

- Vous devez finalement les affronter, ceux qui vous ont tellement terrifié, et vous faites appelle à des "spécialistes". Psychologue, médecins, gourou et autres "magiciens" pour votre pauvre âme meurtri par vos propres bêtises. Vous prendrez des médicaments pour vous donner l'impression que vous contrôlez vos peur, mais ce n'est que poudre aux yeux. Vous payerez des sommes astronomiques pour qu'un de vos congénères vous dise que vous allez mieux. Vous ne serez que les esclaves éternelles de vos mensonges et de vos drogues.

- Vous décidez que c'est trop dur de vivre. Vous agitez un pistolet sous votre nez, une boîte de médicaments, une corde ou un objet tranchant sur vos veines. Vous ne valez rien et vous avez décidez de mourir car c'est trop difficile. Et bien, mourrez et soyez maudit, lâche que vous êtes. Puissiez-vous revenir dans une autre vie et subir les mêmes tourments !

Pour une fois, je vais vous donner une direction qui peut vous aider.

OUVREZ LES YEUX !!!

Vous n'êtes pas parfait, vous avez des défauts et des tords ! Mais pour grandir et vous élevez au dessus du rang des cafards grouillants, il faut vous connaître et admettre vos mauvais côtés. A ce moment, vous aurez une chance de ne pas finir votre vie misérablement ! Et qui sait, vous pourrez peut-être aussi vous sentir fier de vous.

mercredi 4 mars 2009

Vous êtes tous irrespectueux !

Bonsoir lecteur,

Il y a tellement de chose sur lesquels je pourrai vomir des flots de mots malsains, tellement d'attitudes que je pourrai critiquer, tellement d'hypocrisies que je pourrai condamner, tellement de gestes sans fondements, tellement d'actes sans réflexion.

Ce soir, je vais m'épancher sur la total absence de respect qu'on les plus crétins d'entre nous quand ils ne sont pas surveiller ou cantonner.

Rien qu'un exemple : combien de personne ne savent plus conduire leur voiture sans les feux rouge ? C'est incroyable. Arrêtez-vous devant un carrefour où les feux sont en panne et où il n'y a pas de policier et regardez le nombre de conducteur qui ne savent pas rouler s'ils ne sont pas dans un carcan guider. Les klaxons sonnent, les voitures se croisent dans un ballet anarchique et dangereux et, trop souvent, les freins crissent, quelquefois trop tard pour évité le pire.

Pourquoi cette attitude alors que toute personne conduisant un engin motorisé doit avoir passé son permis ?

Dès que la laisse est lâchée, certains se disent qu'ils peuvent tous faire, tout se permettre et qu'il n'y aura pas de conséquence. Le respect des autres passe après l'assouvissement bestiale de la bêtise, de l'acte habituellement interdit ou sanctionné et de la joie d'avoir fait quelque chose de répréhensible.

Le pire dans ces genres de cas, c'est que l'auteur de l'acte est souvent satisfait ou content de lui, il va même parfois jusqu'à s'en venter. Mais dès qu'un incident survient dans sa tentative égoïste et qu'il va devoir payer son acte, il nie, cherche des excuses et pleurniche. Pitoyable chien-chien pris en train de voler un morceau de viande, les oreilles basses et la queue entre les jambes, mendiant clémence pour son tord.

Méditez là-dessus si le coeur vous en dit et si vous avez assez de courage pour regarder la triste vérité en face.

mardi 3 mars 2009

Je vous hais tous !

Voilà, le ton est donné.
Phrase reprise de la série télévisée "Californication", elle n'en reste pas moins vrai.

Je vous hais tous.

Vous n'êtes qu'une bande de mou, ramollis par une vie et une société imbécilisante et lobotomisatrice.

Vos vies, lecteurs, ne valent pas plus que la chaise sur laquelle vous êtes assis.

Mais de ce fait, je me hais encore plus que vous, car je n'ai pas de chaise.